Jurisprudence Lola ou plaidoyer pour la peine de mort à Madagascar

La barbarie écoeurante concernant le meurtre de Lola n’est pas une affaire française, ni nationale, mais concerne le droit des enfants qui est bafoué systématiquement, car la majorité des pays occidentaux ont mis leurs couilles dans un placard sans fond. Et comme leur juridiction sont plaquées telles quelles dans les pays pauvres, alors il est normal de voir à Madagascar, un expat dégueulasse de 60 ans, se balader avec une gamine malgache de 14 ans et tout le monde fait miner de regarder de l’autre coté.

Les Occidentaux détestent les enfants, ils n’en veulent pas, car ils n’ont plus aucune pulsion de vie. Ils dégueulent sur leurs enfants à longueur de journée ce qui fait pour eux, toutes les transgressions pour salir les enfants sont bienvenues. Madagascar est un pays d’enfants. 50 % de notre population a moins de 19 ans et nous devons créer un droit canon qui sanctifie la protection des enfants contre toute forme d’attaque. C’est simple, vous touchez aux enfants, on va vous tuer et on va prendre notre temps pour vous faire agoniser.

Dans les sondages il y a une dizaines d’années, 40 % de la population était favorable au retour de la peine de mort. La peine de mort n’est pas de la cruauté ou de la barbarie. La barbarie est lorsque vous laissez vivre des pédophiles et des tueurs d’enfant. Et un pays qui ne protège pas ses enfants mérite de mourir et de disparaitre dans le néant. La pédophilie à Madagascar est une norme depuis des années. Cela ne concerne pas uniquement les expats, car on a de plus en plus d’affaires de viols sur mineur que ce soit au sein des écoles ou des hopitaux.

Cependant, ce sont bien les expats qui ont amené les premières mauvais graines. Et quand on regarde le profil sociologique des pédo malgaches, alors on se rend compte que ce sont tous des cosmopolites. Ils parlent tous la France et cela prouve que l’infection occidentale de la salissure sur les enfants, les a atteint.

La peine de mort doit être appliqué sur des crimes graves et on peut citer la pédophilie, la haute trahison ou la corruption à grande échelle. C’est à dire que quand vous avez des enculés qui vident la caisse de la CNAPS ou coulent une entreprise publique malgache, pour ensuite s’enfuir vers la “Reny Malala” en dégueulant comme il faut sur les andevos, alors il est temps de les ramener par la peau des fesses et de les faire balancer au bout d’une corde. On pourrait inclure aussi les meurtres et les viols comme passibles de peine de mort, mais cela généraliserait une peine qui, à mon sens, doit être exceptionnelle, mais rapide. De plus, nous avons toujours les travaux forcés à Madagascar et on pourrait les généraliser à tous les crimes de sang.

Une peine de mort efficace et dissuasive doit être rapide. Ainsi dès le jugement, l’exécution doit se faire dans les 30 jours. Car pour la famille des victimes, la peine de mort de leur bourreau est une étape du deuil, car cela leur permet de tourner la page. Cependant, ce plaidoyer pour la peine de mort tombera sans doute dans l’oreille de sourds. Les politiciens et les institutions malgaches ont été totalement infectés par le discours droit de l’hommistes où la salissure des enfants est considéré comme le Nec le plus ultra du progressisme !

Tuez les pédophiles, tuez les traitres, tuez les corrompus et le pays s’en portera bien mieux.