Les abeilles peuvent faire des calculs mathématiques de base
Les chercheurs ont découvert que les abeilles peuvent effectuer des calculs mathématiques de base, ce qui permet de mieux comprendre la relation entre la taille du cerveau et sa capacité.
Les abeilles font partie des pollinisateurs les plus populaires en agriculture. Le public est souvent mal informé sur les abeilles, car il ignore que les abeilles domestiques ne sont qu’une infime partie de toutes les espèces d’abeilles. Les abeilles sont connues pour leur société sociale et leur capacité à s’adapter à de nombreux environnements. Dans cette catégorie, nous proposons des actualités sur les abeilles.
Les chercheurs ont découvert que les abeilles peuvent effectuer des calculs mathématiques de base, ce qui permet de mieux comprendre la relation entre la taille du cerveau et sa capacité.
Des chercheurs de l’Université de Sydney ont découvert que la relation entre le Varroa destructor et la virulence d’un virus d’abeilles domestiques avait très probablement été mal comprise.
Une formulation contenant des phéromones d’abeilles repousse les éléphants en toute sécurité, promettant une nouvelle stratégie pour empêcher les plus grands animaux terrestres du monde de détruire les cultures ou de causer d’autres dommages dans les zones où les humains entrent en conflit avec les éléphants.
Les scientifiques ont découvert que les abeilles peuvent comprendre le concept de zéro, en les plaçant dans un club d’élite d’animaux intelligents capables de saisir cette notion mathématique assez complexe.
Deux enzymes spécifiques, l’une chez l’abeille mellifère et l’autre chez le bourdon, peuvent détenir les clés d’une nouvelle génération d’insecticides qui protègent les cultures sans menacer ces pollinisateurs essentiels
Une recherche suggère que la gelée royale passe par des changements de consistance et de viscosité en modifiant le pH de la gelée afin d’offrir un environnement sécurisée aux larves qui deviendront les futures reines.
Dans un communiqué, l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) estime que les néonicotinoïdes menacent les abeilles domestiques et sauvages et qu’un renforcement de la législation est à prévoir. Le cas des néonicotinoïdes et son impact sur les abeilles font l’objet d’un débat animé même si ces dernières années, le camp penche vers une menace avérée sous le principe de précaution.
Dans un éditorial, des experts de la protection de l’environnement estiment qu’il faut considérer les abeilles domestiques comme des animaux d’élevage, car elles peuvent participer au déclin des pollinisateurs sauvages à cause de la compétition des ressources. L’effondrement des ruches est un problème agricole tandis que le déclin des pollinisateurs est un problème environnemental.
Les chercheurs rapportent la découverte d’un halo bleu, basé sur des nanostructures très irrégulières, que les fleurs utilisent pour attirer les pollinisateurs comme les bourdons ou les abeilles. C’est un bon phénomène qu’on connait comme l’évolution convergente.
Les chercheurs rapportent qu’ils ont trouvé des résidus de néonicotinoïdes dans le miel provenant de plusieurs continents. Même si les dosages correspondent à une certaine nocivité pour les abeilles, il n’y a aucun risque pour les humains et surtout que la méthodologie de l’étude est franchement limitée.