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Madagascar contre l’ONGcratie

Il y a quelques jours, la directrice de Transparency International, a été interrogé par la police économique parce qu’elle a accusé le groupement des exportateurs de Litchis de faire des magouilles. Je ne vais pas m’étendre sur cette affaire, car déjà, je ne connais pas le dossier et surtout que j’en ai strictement rien à foutre des litchis.

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Mais lorsque la femme a été entendue, vous avez eu toutes les chancelleries occidentales qui ont hurlés comme des putois en disant que c’est scandaleux. Dites, nous, on ne dit rien quand l’Occident torture et massacre des millions de personnes dans le monde pour leur enseigner “l’Etat de droit” et la “démocratie”.

Ensuite, cela soulève le problème de ces ONGs à Madagascar qui n’obéissent à personne. Elles ont le droit de dégueuler comme bon leur semble, mais elles, elles sont intouchables. Car la valeur sacrée devant l’Eternel et devant un peuple est la légitimité. Cette Ketakandriana Rafitoson, on peut savoir combien de malgaches l’ont élus ? Absolument zéro. Elle est issue de la nébuleuse d’ONGs qui est financée par le Département d’Etat américain, sous le couvert de protéger la culture et le droit des femmes (sic).

Et c’est valable pour toutes les ONG qui n’ont jamais été élus par personne, avec des membres qui font toute leur carrière à l’étranger et finalement, prouvant qu’elles n’ont jamais travaillé de leur vie. Ce sont de véritables plaies, car cela disloque la souveraineté d’un pays. C’est au pays de combattre sa propre corruption et à non à des ONG qui sont financés par d’autres pays dont la transparence et la démocratie ressemble à une énorme face organisée par des occupants d’un asile psychiatrique.

La solution est très simple, faire voter des lois comme en Russie, qui identifie les agents étrangers. Toute ONG doit passer par une évaluation complète de son organisation. On doit regarder les membres, les sources de financement, avoir accès à toutes les transactions, car comme celui qui paie commande, ce serait intéressant de savoir qui finance réellement ces organisations. En même temps, ce sont des chantres de la transparence, elles ne verront donc aucun mal à ce qu’on fouille dans leurs affaires, pour voir s’il n’y a pas une odeur de fosse septique.

Madagascar : Entre crises perpétuelles et espoirs sans lendemain

Si dans les cartes postales, Madagascar possède une image idyllique, faisant baver les occidentaux qui respirent de la brique à longueur de journée, la réalité est toute autre. Pauvreté, misère, famine, corruption, népotisme, autant de mots qui sont coupables des maux malgaches.

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