Catégorie : Biologie

Une illustration qui montre le fonctionnement d'un vaccin par cellules couches pour immuniser contre des cancers - Kooreman and Kim et al./Cell Stem Cell 0

Un vaccin par cellules souches immunise des souris contre plusieurs cancers

Des chercheurs de l’Université de Stanford rapportent que l’injection de souris avec des cellules souches pluripotentes induites inactivées (iPSCs) a déclenché une forte réponse immunitaire contre les cancers du sein, du poumon et de la peau. Le vaccin a également empêché les rechutes chez les animaux dont les tumeurs avaient été enlevées.

Une fourmi Matabele soigne les blessures d'un congénère dont les jambes ont été mordus pendant un combat avec des soldats termites - Erik T. Frank 0

Ces fourmis qui soignent leurs blessés au champ de bataille

En 2017, on avait appris que les fourmis Matabele, une espèce africaine, soignent ses blessés en les ramenant à leur nid. Les mêmes chercheurs proposent de nouvelles découvertes sur ces soins médicaux avec des comportements assez étranges, mais qui s’expliquent par le fait que les fourmis pensent à la colonie avant toute chose. Ainsi, les fourmis, considérées comme “foutues”, refusent d’être secourues.

Depuis longtemps, on pensait que les crânes des carnivores se basaient sur l'adage : Vous êtes ce que vous mangez. Cependant, une étude suggère qu'il y a des facteurs non alimentaires, tout aussi importants, qui façonnent le crâne. Des facteurs aussi inattendus que la pluie dans une région. 0

Des facteurs non alimentaires façonnent le crâne des carnivores

Depuis longtemps, on pensait que les crânes des carnivores se basaient sur l’adage : Vous êtes ce que vous mangez. Cependant, une étude suggère qu’il y a des facteurs non alimentaires, tout aussi importants, qui façonnent le crâne. Des facteurs aussi inattendus que la pluie dans une région.

La fourmi de feu - Crédit : Clint Penick 0

De nouvelles pistes sur les antibiotiques utilisés par les fourmis

Une nouvelle étude offre des pistes sur l’utilisation des antibiotiques par les fourmis. Contrairement à ce qu’on pensait, 40 % des espèces de fourmis dans l’étude n’utilisaient pas d’antibiotiques ce qui suggère qu’elles ont développé d’autres mécanismes de défense. La fourmi voleuse, Solenopsis molesta, possède l’effet antibiotique le plus puissant dans cet échantillon.

A gauche : Une mitochondrie de cellules humains illuminée par une sonde sensible à la température. 4 cellules humaines, chacune avec son noyau et ses nombreux mitochondries filamenteuses (jaune-rouge). A droite : La mitochondrie comme un radiateur. Un zoom sur l'un des filaments révèle des membranes parallèles juxtaposées qui pourrait chauffer l'intérieur de la mitochondrie. Crédit : image de gauche : Malgorzata Rak, image de droite : Terrence G. Frey 0

La mitochondrie fonctionne-t-elle à 50 degrés Celsisus ?

Une étude suggère que nos mitochondries, les usines à énergie de nos cellules, fonctionnent à 50 degrés Celsisus tandis que notre corps reste stable à 37,5 degrés Celsisus. Toutefois, l’hypothèse est radicale et les précautions habituelles s’imposent face à ces découvertes.

Les chercheurs rapportent que les moustiques sont dotés de facultés d'apprentissage. Ils sont capables d'associer une odeur à un choc mécanique comme lorsqu'on tente de les écraser avec nos mains. En ayant appris cette odeur, les moustiques éviteront ceux ou celles qui tentent de les ratatiner. 0

Tentez d’écraser un moustique et il évitera votre odeur

Les chercheurs rapportent que les moustiques sont dotés de facultés d’apprentissage. Ils sont capables d’associer une odeur à un choc mécanique comme lorsqu’on tente de les écraser avec nos mains. En ayant appris cette odeur, les moustiques éviteront ceux ou celles qui tentent de les ratatiner.

Dans un éditorial, des experts de la protection de l'environnement estiment qu'il faut considérer les abeilles domestiques comme des animaux d'élevage, car elles peuvent participer au déclin des pollinisateurs sauvages à cause de la compétition des ressources. L'effondrement des ruches est un problème agricole tandis que le déclin des pollinisateurs est un problème environnemental. 1

Considérer les abeilles domestiques comme des animaux d’élevage ?

Dans un éditorial, des experts de la protection de l’environnement estiment qu’il faut considérer les abeilles domestiques comme des animaux d’élevage, car elles peuvent participer au déclin des pollinisateurs sauvages à cause de la compétition des ressources. L’effondrement des ruches est un problème agricole tandis que le déclin des pollinisateurs est un problème environnemental.

Les chercheurs rapportent la découverte des Autolykiviridae qui est un nouveau groupe de virus dans les océans. Leur principale particularité est qu'ils n'ont pas de queues comme les virus normaux et que leur mode d'action est plus lent. Même si l'étude s'est concentrée sur les océans, il se pourrait qu'il y ait des Autolykiviridae chez les humains. 0

Autolykiviridae, un nouveau groupe de virus dans les océans

Les chercheurs rapportent la découverte des Autolykiviridae qui est un nouveau groupe de virus dans les océans. Leur principale particularité est qu’ils n’ont pas de queues comme les virus normaux et que leur mode d’action est plus lent. Même si l’étude s’est concentrée sur les océans, il se pourrait qu’il y ait des Autolykiviridae chez les humains.