Une médecine douce pourrait transformer radicalement la pratique médicale
La critique de la science médicale a atteint des sommets avec l’épidémie de coronavirus. Conflits d’intérêt, des scientifiques devenus des bureaucrates pour le profit, des tonnes de médicaments inutiles et couteux. Une alternative est de proposer une “médecine douce” et ce n’est pas un terme hippie pour fumer des pissenlits. Mais de découper de tout ce qui dépasse dans la médecine actuelle pour faire ce qu’elle devrait censé faire, soigner les gens le mieux possible et à moindre cout en évitant de les considérant comme des enfants à pilules au passage.