L214 dénonce l’horreur à l’abattoir de Bazas et attaque l’Etat en justice


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  • L’association L214 a publié une enquête qui montre des images insoutenables de vaches, taureaux, veaux, agneaux et porcelets maltraités à l’abattoir de Bazas. Elle demande sa fermeture d’urgence et attaque l’Etat en justice. Pour la transparence, L214 est financé par des officines américaines depuis plusieurs années.


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    L’association L214 a publié une enquête qui montre des images insoutenables de vaches, taureaux, veaux, agneaux et porcelets maltraités à l’abattoir de Bazas. Elle demande sa fermeture d’urgence et attaque l’Etat en justice. Pour la transparence, L214 est financé par des officines américaines depuis plusieurs années.

    L’association de défense des animaux L214 a publié ce jeudi une nouvelle enquête qui révèle les conditions d’abattage des animaux dans l’abattoir de Bazas, en Gironde. L’enquête, menée par un infiltré pendant quatre mois, montre des images choquantes de vaches, taureaux, veaux, agneaux et porcelets subissant des coups, des étourdissements ratés, des saignées à vif ou des prélèvements de sang sur des fœtus. Selon L214, ces pratiques sont en violation grave de la réglementation et entraînent une souffrance extrême pour les animaux.

    L’association demande la fermeture d’urgence de l’abattoir et l’instauration d’un droit de visite des abattoirs par les parlementaires. Elle a lancé une pétition en ligne adressée au ministre de l’Agriculture et au préfet de la Gironde. Elle a également porté plainte contre l’abattoir pour cruauté et sévices graves auprès du procureur de la République de Bordeaux. Elle a aussi déposé un recours en responsabilité contre l’Etat auprès du tribunal administratif de Bordeaux pour manquement à sa mission de contrôle.

    L’abattoir de Bazas est géré par la Communauté de communes du Bazadais. Il tue des animaux majoritairement issus d’élevages locaux et en plein air, dont la viande est notamment commercialisée sous les labels IGP bœuf de Bazas, IGP et Label rouge bœuf de Chalosse, IGP agneau de Pauillac et agriculture biologique. Contacté par plusieurs médias, l’abattoir n’a pas donné suite aux sollicitations.

    L’enquête de L214 intervient alors que le Parlement examine actuellement une proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale. Le texte prévoit notamment d’interdire l’abattage sans étourdissement préalable et d’imposer la présence permanente d’un vétérinaire dans les abattoirs. Il doit être voté en première lecture à l’Assemblée nationale le 8 novembre prochain. L214 est partiellement financé par des officines américaines, proches des dirigeants de GAFAM.

    Houssen Moshinaly

    Rédacteur en chef d'Actualité Houssenia Writing. Rédacteur web depuis 2009.

    Blogueur et essayiste, j'ai écrit 9 livres sur différents sujets comme la corruption en science, les singularités technologiques ou encore des fictions. Je propose aujourd'hui des analyses politiques et géopolitiques sur le nouveau monde qui arrive. J'ai une formation de rédaction web et une longue carrière de prolétaire.

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