L’image d’un trou noir, la plus sombre des ombres
On l’avait calculé, simulé, entendu ses vibrations. Mais cette fois, on a l’image d’un trou noir en chair et en os.
On l’avait calculé, simulé, entendu ses vibrations. Mais cette fois, on a l’image d’un trou noir en chair et en os.
Les chercheurs rapportent la découverte d’émissions en rayons X à proximité d’un trou noir dans son horizon des évènements. On a pu calculer le spin du trou noir avec cette perturbation par effet de marée, une première expérimentale.
by La Rédaction · Published 13 juillet 2018 · Last modified 10 juillet 2018
En utilisant plusieurs observatoires et la collaboration de plusieurs équipes internationales, les scientifiques ont pu identifier la source directe d’un neutrino à haute énergie. Il s’agit d’un Blazar situé dans une galaxie à 3 milliards d’années-lumières. Cela permet aussi de résoudre l’énergie de l’origine des rayons cosmiques. Et l’astronomie multi-messagers ajoute une flèche à son arc avec les rayonnements électromagnétiques, les ondes gravitationnelles et désormais les neutrinos.
Une nouvelle recherche montre la première évidence de vents intenses autour des trous noirs à travers des événements lumineux quand un trou noir consomme rapidement de la masse.
Les astronomes ont découvert des corrélations entre la masse d’un trou noir supermassif au centre d’une galaxie et l’histoire de la formation d’étoiles. Les grandes galaxies, ayant des trous noirs plus grands, ont tendance à arrêter plus rapidement leur formation d’étoiles.
Les chercheurs rapportent la découverte d’un trou noir supermassif (J1342+0928), un Quasar, à 13,1 milliards d’années-lumières, soit seulement 690 millions d’années après le Big Bang. C’est le Quasar le plus lointain jamais découvert, mais il possède une taille considérable avec une masse de 800 millions de fois à celle du soleil.
On pensait que les galaxies actives de type I et II étaient les mêmes et que la différence provenait simplement de l’angle d’observation depuis la Terre. Désormais, une recherche suggère que ces 2 galaxies sont en réalité très différentes, notamment à cause de leurs trous noirs supermassifs.
Les chercheurs rapportent la découverte d’un système binaire de 2 trous noirs supermassifs en orbite dans une galaxie située à 750 millions d’années-lumières.
Une observation sur le centre d’une galaxie voisine a révélé un lien surprenant entre la galaxie et le trou noir supermassif au centre.
Un nouveau type de galaxie datant de moins d’un milliard d’années après le Big Bang qui crée des étoiles à un rythme 100 fois supérieur à celui de notre Voie lactée.