Les abeilles peuvent faire des calculs mathématiques de base
Les chercheurs ont découvert que les abeilles peuvent effectuer des calculs mathématiques de base, ce qui permet de mieux comprendre la relation entre la taille du cerveau et sa capacité.
Les chercheurs ont découvert que les abeilles peuvent effectuer des calculs mathématiques de base, ce qui permet de mieux comprendre la relation entre la taille du cerveau et sa capacité.
Des chercheurs de l’Université de Sydney ont découvert que la relation entre le Varroa destructor et la virulence d’un virus d’abeilles domestiques avait très probablement été mal comprise.
Une formulation contenant des phéromones d’abeilles repousse les éléphants en toute sécurité, promettant une nouvelle stratégie pour empêcher les plus grands animaux terrestres du monde de détruire les cultures ou de causer d’autres dommages dans les zones où les humains entrent en conflit avec les éléphants.
Dans un éditorial, des experts de la protection de l’environnement estiment qu’il faut considérer les abeilles domestiques comme des animaux d’élevage, car elles peuvent participer au déclin des pollinisateurs sauvages à cause de la compétition des ressources. L’effondrement des ruches est un problème agricole tandis que le déclin des pollinisateurs est un problème environnemental.
Les chercheurs rapportent la découverte d’un halo bleu, basé sur des nanostructures très irrégulières, que les fleurs utilisent pour attirer les pollinisateurs comme les bourdons ou les abeilles. C’est un bon phénomène qu’on connait comme l’évolution convergente.
L’Amérique latine est la plus grande productrice de café au monde, mais les modèles montrent une baisse considérable de la viabilité du café dans cette région en 2050. Toutefois, on pourrait compenser certaines pertes en améliorant les conditions des abeilles qui sont importantes pour la pollinisation. Et même s’il y a des pertes, des régions comme le Mexique, la Colombie ou le Costa Rica vont devenir propices à l’agriculture du café dans le futur.
Si vous pensez que protéger les abeilles revient à protéger les pollinisateurs, alors c’est comme si vous disiez que vous allez protéger les poulets pour sauver toutes les espèces d’oiseaux. Le manque de connaissance du public concernant les abeilles et les pollinisateurs peut poser d’énormes problèmes sur les efforts réels de protection de la biodiversité.
Des expériences de terrain menées en Europe indiquent que les néonicotinoïdes peuvent nuire aux abeilles domestiques et sauvages, mais cela dépend également des conditions.
Il y a 80 millions d’années, un groupe d’abeilles a commencé à adopter un comportement social tel que le fait d’élever des jeunes, partager les ressources alimentaires ou défendre leur colonie. Aujourd’hui, les descendants de ces “pionniers” sont les abeilles domestiques, les abeilles sans aiguillon et les bourdons. Et toutes ces abeilles contemporaines ont gardé 5 espèces de microbes qui ont évolué avec elles pendant ces 80 millions d’années.
Les bourdons peuvent utiliser des empreintes odorantes pour distinguer leur propre odeur, celle d’un autre bourdon et d’un intrus pour améliorer leur recherche de nourriture.