Pangénome de la tomate et plus de saveurs potentielles dans le futur
En cartographiant le pangénome de la tomate, les chercheurs ont découvert des gènes qui pourraient améliorer sa saveur dans le futur.
En cartographiant le pangénome de la tomate, les chercheurs ont découvert des gènes qui pourraient améliorer sa saveur dans le futur.
Insérer ou modifier des gènes dans des plantes relève plus de l’art que de la science, mais une nouvelle technique mise au point par l’Université de Californie à Berkeley pourrait permettre de concevoir génétiquement tout type de plante, en particulier avec l’édition de gènes via CRISPR-Cas9.
par Houssen Moshinaly · Published 14 décembre 2018 · Last modified 11 décembre 2018
Nos crânes et nos cerveaux ronds (globulaires) sont un trait distinctif des humains modernes. Dans la revue Current Biology, des chercheurs rapportent que les humains actuels porteurs de fragments d’ADN néandertaliens particuliers ont une tête légèrement moins arrondie, révélant ainsi des indices génétiques sur l’évolution de la forme et des fonctions du cerveau moderne.
Tout le monde a sans doute entendu parler du microbiome, cette communauté de bactéries qui habitent principalement dans notre système digestif. Mais nous avons aussi un virome. On estime que chacun d’entre nous possède 38 000 milliards de bactéries. Un chiffre effarant. Cependant, notre virome est composé de 380 000 milliards de virus. Et leur compréhension est essentielle pour comprendre la bataille incessante qui se joue dans notre corps.
Dans la science-fiction, les méchants créent souvent des clones pour contrôler le monde. La réalité du clonage est plus modérée même si ses applications sont nombreuses que ce soit pour avoir des organes en illimité ou même pour ressusciter des espèces disparues. Mais le clonage d’organismes multicellulaires reste un défi de taille.
par Houssen Moshinaly · Published 12 septembre 2018 · Last modified 11 septembre 2018
On estime que les êtres humains sont les meilleurs coureurs à longue distance du monde animal. Et désormais, une étude suggère que la perte d’un seul gène, CMAH, serait responsable de cette capacité.
Une étude suggère qu’une espèce de chauve a volé un gène du virus Ebola. Le gène est responsable de la neutralisation du système immunitaire chez les humains. Chez les chauves-souris, ce gène est beaucoup plus atténué suggérant une relation particulière entre certains mammifères et des virus comme Ebola.
Les chercheurs qu’une espèce de riz, Oryza sativa, a développé des adaptations génétiques, afin de résister aux inondations. Des pistes qui permettraient de créer des semences plus résilientes face aux phénomènes météorologiques extrêmes à venir.
Dans une étude qui a analysé un échantillon considérable de génomes dans la population américaine et britannique, les chercheurs rapportent que la sélection naturelle de l’évolution est constamment à l’oeuvre même dans des périodes courtes afin de réduire les traits associés à la maladie d’Alzheimer et au tabagisme important entre autres.
par La Rédaction · Published 1 septembre 2017 · Last modified 11 octobre 2017
Les chercheurs suggèrent qu’une commutation de neurotransmetteur est associée à l’attraction, notamment sur le lien parental. Et que ce processus peut réagir à des odeurs. C’est ainsi qu’un agneau peut localiser ses parents avec une grande précision dans un grand troupeau de moutons qui semblent identiques.