En tant qu’hominins au grand cerveau et au visage court, nos visages sont différents des autres hominines aujourd’hui disparus (comme les Néandertaliens) et de nos plus proches parents vivants (les bonobos et les chimpanzés),...
Deux études, l’une portant sur les chasseurs-cueilleurs ibériques entre 13 000 et 6 000 ans et l’autre sur les populations ibériques au cours des 8 000 dernières années, apportent une nouvelle résolution à notre compréhension de l’histoire et de la préhistoire de la péninsule ibérique.
Dans une étude de 6 ans des Hadza, un peuple de chasseur-cueilleur, on découvre que le partage est davantage un concept contagieux plutôt qu’une caractéristique innée pour chaque groupe. Les personnes partagent selon le groupe auxquels ils appartiennent.
On estime que les êtres humains sont les meilleurs coureurs à longue distance du monde animal. Et désormais, une étude suggère que la perte d’un seul gène, CMAH, serait responsable de cette capacité.
Dans un désert dans la Jordanie, les chercheurs rapportent la découverte de restes de pain datant de 14 400 ans, soit 4 000 ans avant l’agriculture. Cela suggère que le processus de fabrication du pain qui a incité à cultiver les céréales et donc, à lancer la révolution agricole.
Une équipe internationale de scientifiques a analysé les génomes humains anciens de 38 Européens du nord datant d’environ 7500 à 500 avant notre ère. L’étude a révélé que la Scandinavie a été initialement établie par une route du sud et du nord et que l’arrivée de l’agriculture dans le nord de l’Europe était facilitée par les mouvements des agriculteurs et des éleveurs dans la région.
Une étude suggère que les chasseurs-cueilleurs peuvent nommer les odeurs aussi facilement que les couleurs. Cela sous-entend que la différence culturelle possède un impact sur l’architecture neurologique sur la reconnaissance des odeurs et des couleurs. La population moderne a perdu une partie de cette performance olfactive.
Les premiers humains semblent avoir reconnu les dangers de la consanguinité il y a au moins 34 000 ans et ils ont développé des réseaux sociaux d’accouplement étonnamment sophistiqués pour l’éviter selon de nouvelles recherches.
Une nouvelle recherche suggère que l’humain moderne, Homo sapiens, a pu émerger plus tôt dans une période de 350 000 et 260 000 ans. L’étude estime également que l’émergence de l’humain moderne s’est produite dans plusieurs endroits en Afrique.
Une recherche suggère que des régimes basés sur des matières graissent et des adaptations génétiques permettent aux populations autochtones de Sibérie telles que les Nganasan et les Yakut de s’adapter au froid extrême de cette région.