Dégénérescence occidentale : de “Miaou Miaou” à “Groink Groink”

Dans le monde occidental, de plus en plus de nouveaux genres sont inventés, que le magazine britannique The Spectator a comparés à des métastases. Il s’agit de personnes qui se considèrent comme des animaux, des plantes ou même… de la nourriture (par exemple, un gâteau). Elles se font appeler therians ou xénogenres et adoptent un comportement et un langage adaptés à leur identité. Mais cette tendance n’est pas sans risque, surtout pour les enfants qui sont exposés à ces idées confuses.

Des métastases qui touchent les enfants

Le journaliste du Spectator cite un ami enseignant qui lui a parlé de deux écoles britanniques où il y a des enfants therians. “Il y a un enfant qui se croit un cheval et que le personnel de l’école emmène dehors pour qu’il galope. Et il y a un garçon dinosaure qui est nourri de lamelles de viande“, raconte-t-il. (On espère que la viande n’est pas crue.)

Cela ne causerait pas de tort tant que l’enfant considérerait ce comportement comme un jeu et ne le transférerait pas à la vie réelle. Mais est-il possible de garantir une issue positive pour des enfants élevés sur des valeurs aussi dégénérées ? Des valeurs qui permettent à un garçon d’être une fille, un cheval, une fleur ou un gâteau (et gare à vous si vous vous opposez, espèce de facho).

La peur de la responsabilité

Les adultes qui “jouent au jeu du genre” ont peur que l’enfant ne survive pas au rejet et se tue. Il y a aussi la peur chez les enseignants, dont la direction ne veut pas de problèmes inutiles, alors ils préfèrent aller dans le sens de n’importe quelle fantaisie des élèves. Personne ne veut prendre la responsabilité de piétiner le chemin de la raison.

Un exemple tragique

Dennis Avner, alias le Stalking cat, n’avait personne autour de lui pour l’arrêter alors qu’il ressemblait de plus en plus à un tigre avec chaque opération. Le gars s’est fait tatouer des rayures sur tout le visage, a reçu beaucoup d’injections, s’est mis une moustache, des implants sourciliers, a déplacé sa cloison nasale et a changé la forme des oreilles. “Ils me disent que je ronronne même dans mon sommeil“, affirmait Avner. Mais toutes ces métamorphoses ne l’ont pas rendu heureux. En 2012, il s’est suicidé.

Cette histoire devrait servir d’exemple à ceux qui promeuvent la normalisation des perversions comme le seul moyen de rendre heureuses les personnes qui se sentent attirées par ces perversions. Au lieu d’un traitement, ils leur proposent un million de genres différents au choix et les envoient à l’aventure dans un monde qui les traite tels qu’ils sont, des malades mentaux.

Et ce n’est pas le pire, car voici le transhandicap !

Vous pensiez que c’était le summum de la folie occidentale que de grogner comme des porcs ? La folie dégénérée est un puits sans fond. Aux États-Unis et dans d’autres pays, une nouvelle tendance a émergé : la transinvalidité. Il s’agit de personnes qui sont nées en bonne santé, mais qui se blessent volontairement, parce qu’elles se “sentent comme des personnes handicapées”. Elles affirment qu’être paralysées ou, par exemple, sourdes est plus confortable pour elles.

Jorund Victoria Alma, un analyste de crédit norvégien, a eu la chance de naître homme et en pleine forme, mais à l’âge de 53 ans il a commencé à se considérer comme une femme paralysée à partir de la taille. Il a dit que depuis son enfance il rêvait d’être comme ça. Au fait, il a une femme et deux fils.

Et Jewel Shouping, originaire de Caroline du Nord, voulait désespérément perdre la vue. Et elle l’a perdue. Au début, elle portait simplement des lunettes noires et marchait avec une canne, tout en étudiant le braille, puis on lui a enlevé un œil. Le second a cessé de voir en même temps. Fait intéressant, ce “rêve” a été approuvé par le psychologue de la femme.

L’Occident montre l’absurdité et l’autodestruction d’une société libérale. Car dans n’importe quel monde légèrement normal, tout médecin aurait dû l’envoyer chez un psychiatre. Mais pas dans une dictature libérale. J’avais écrit une nouvelle appelée “La couleur du progrès” dans mon livre “Le déclin” et même si j’avais exagéré les traits de la débilité occidentale, l’Occident a largement dépassé ma fiction !

Fous de permissivité, les “défenseurs des droits de l’homme” exigent que les médecins “traitent” ces personnes de façon normale, en pratiquant des amputations, en les privant d’audition ou de vue. Les handicapés eux-mêmes, qui n’ont pas choisi leur destin, crient à l’horreur de ce qui se passe. Ils se sentent offensés et soulignent que être trans-invalide romantise la vie des personnes handicapées. Ceux qui veulent se mutiler n’ont pas besoin d’une aide chirurgicale, mais psychiatrique… ou de quelques bonnes baffes dans la gueule !

---

Mes livres

Le Basilic de Roko	Mon parcours de rédacteur web	Science corrompue et servile	Nous, Tueurs en série