Le retour du Covid et de la peur

Depuis presque 5 ans, l’Occident n’a régné que par la peur. Avant le covid, on avait des peurs saisonnières liées à la chaleur, au froid, au fascisme, aux populistes. 2020 et le covid ont donné aux dirigeants une véritable usine à peur éternelle. Il y a eu des résistants dès le début, des soldats morts au champ d’honneur de la vérité.

Il y a quelques rebelles qui n’ont jamais accepté le discours covidiste, mais 99 % de la population l’a considéré comme la seule vérité. Même si au fond d’eux-mêmes, ils savaient que c’était des bobards de peur, ils l’ont fait quand même, soit par sadisme pour martyriser leur prochain, soit pour glorifier sa servilité pour quelques miettes de pain.

Le premier, le second, le troisième, le quatrième, le cinquième covid ont terminés en eau de boudin. Le problème de la torture est similaire à l’industrialisation d’un pays, si vous ne la diversifiez pas, ça ne marchera pas et de même, l’être humain s’adaptera et ne la ressentira plus comme quelqu’un qui vit continuellement à coté d’ordures et qui s’est habitué à la puanteur. Donc, il faut changer de torture de peur, changer de marketing et février 2022 a permis de régner sur la peur des ogres russes.

Bientôt toutes les villes occidentales seraient nucléarisés, des hordes de russes barbares déferleront sur les jardins européens et saccageraient tout sur leur passage, violeraient les gentilles blanches et mangeraient des enfants avec de la moutarde et de la configure. Sauf qu’une partie du monde a applaudi face aux ogres russes. Le scénario de la peur russe a commencé à se déliter, tomber en morceaux et le retour de manivelle a provoqué un dégout de plus en plus avoué du nouveau monde face à un occident de plus en plus dégénéré, empreint d’une hystérie qui est la nature des sectes tueuses.

Les moutons dociles ont supprimés discrètement le drapeau jaune et bleu de leur bio et maintenant que l’hiver approche et qu’il sera très dur si on se base sur l’hiver austral, alors on ressort le petit covid. On trouve une nouvelle variante plus dangereuse, plus contagieuse, plus mortelle, plus tout, mais on oublie de dire que c’est parce que Big Pharma a d’autres fléchettes à refourguer et quand une entreprise engrange 100 milliards de dollars en un an à cause du règne de la peur, alors c’est un business model qu’on ne peut pas abandonner.

Le port du masque devient obligatoire dans les transports en commun et dès octobre, vous aurez la fléchette gratuite et obligatoire. La question demeure sur la diversification de la torture de la peur. Si une ancienne torture devient de plus en plus inefficace, est-ce qu’on peut la ramener après une période de repos. La réponse est oui, car le souvenir de la folie occidentale sur le covid a laissé des traces indélébiles qui mettront des décennies à s’effacer. Et plutôt que de revivre ça, alors on acceptera bien plus cette fois pour que tout redevienne comme avant.

Car leur servilité du passé remplit de joie les moutons dociles. Ils pourront de nouveau martyriser leur prochain et montrer une arrogance et mépris qui se réflète sur leurs chaines. Des morts-vivants, fils de lâche et père de parasites, voilà ce qu’ils sont. Et les prochains scénarios de peur sont déjà prévus. Avec le covid hivernal, on mettra le froid mortel. Car ils sont déçus, les petits capos, ils avaient prévu tellement de marketing terrifiant sur la canicule, monstre implacable du réchauffement climatique. Les cartes étaient en rouge dès le mois de mai, les discours alarmants étaient répétés en boucle par les péteux et les pétasses siliconnées dont la seule compétence est de se pencher sur une photocopieuse.

Mais mère nature leur a littéralement pissé dessus pendant tout l’été. Tout est tombé à l’eau et donc, on réactive le virus parce qu’il faut maintenir la peur, car l’occident n’a rien d’autre pour mater son peuple. La matraque, ça va un moment, mais la peur est une ressource inépuisable pour les tyrans. Le virus et le froid vont servir à oublier une destruction économique de la France. Les prix de l’énergie crèveront le plafond. Et pour leur faire passer la pilule, on glorifiera la pauvreté avec des arguments écologiques. Ne prenez pas la voiture, non parce que vous n’en avez plus les moyens, mais parce que c’est bon pour la planète. La même chose pour la viande, les voyages, des biens qui sont normaux pour des pays normaux. Des luxes inaccessibles pour les pays du tiers-monde dont la France peut se targuer d’en avoir le titre.

Le prochain scénario est déjà prêt, après l’hiver, il faudra tout de suite oublier le Covid parce qu’il faut que les JO 2024 génèrent un max de pognon pour les oligarques. Il faut que tout le monde soit au diapason, gare à vous si vous ne saluez pas les drapeaux olympiques, de toutes façons, le nationalisme est autorisé uniquement pendant le pain et les jeux.

Toute organisation des JO a toujours détruit des pays qui n’avaient pas une puissance rayonnante. Et l’été 2024, les scénarios de la peur caniculaire seront déjà prêts pour faire oublier les différents désastres. A l’approche de l’hiver, on découvrira un nouveau virus, bien plus dangereux que tout ce qu’on avait imaginer, car les vendeurs de sirop guérit-tout auront créé une nouvelle merde à refourguer. La peur comme mode de gouvernement est éternel, on peut l’utiliser à l’infini tant qu’on ne lui a pas dit STOP une bonne fois pour toute.

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