Drogue et faillite des Appalaches : La prédation américaine dans sa quintessence


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  • Quand on regarde la situation des Appalaches, on se dit qu’ils représentent la prédation américaine dans sa quintessence. Les problèmes de drogue, la faillite généralisée et des générations entières détruites sans que les autorités lèvent le petit doigt.


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    Quand on regarde la situation des Appalaches, on se dit qu'ils représentent la prédation américaine dans sa quintessence. Les problèmes de drogue, la faillite généralisée et des générations entières détruites sans que les autorités lèvent le petit doigt.

    Aujourd’hui, il existe de nombreux documentaires sur les Appalaches sur Youtube et je suis tombé sur l’un d’eux qui est particulièrement bien fait. On est loin des canons des médias mainstream qui dépeignent les habitants des Appalachiens comme des violents, des sauvages et qui ne comprennent rien à ce qui se passe. Un documentaire en plusieurs parties, une plongée dans ce qu’est les Appalaches, une plongée dans l’univers de la drogue à vous glacer le sang et des villes entières abandonnées à cause de la faillite généralisée.

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    Même aujourd’hui, il est difficile de définir techniquement les zones concernées par les Appalaches. Car si on suit la chaine de montagnes, alors cela va de l’Etat de Géorgie jusqu’au Quebec. Mais vu leur dégénérescence accélérée et programmée, il serait difficile de classifier les québécois comme des Rednecks. Mais une définition locale s’accorde à dire que les Appalaches, le coeur battant de l’Amérique profonde, concerne la Virginie de l’Ouest, le Kentucky et une partie du Tennessee.

    Ces trois Etats, surtout la Virginie et le Kentucky ont été les centres mondiaux de charbon depuis plus de 2 siècles. Le déclin du charbon va se faire à partir des années 1970 avec le choc pétrolier et l’ouverture délirante sur le monde de l’Amérique qui rendra le charbon des Appalaches beaucoup trop cher. Pour l’Establishment américain, il fallait détruire ces prolos, des travailleurs durs et fiers et cela va se faire à partir des années 1990 où les lois environnementales rendront l’exploitation de l’or noir de plus en plus difficile.

    La criminalisation de l’exploitation du charbon pendant l’ère démocrate, surtout celle d’Obama (ce noir est détesté par tout le Moyen-Orient et par toute l’Amérique pauvre, un exploit) sous des prétextes écologiques, va détruire ces 3 Etats et plonger les 26 millions d’habitants des Appalaches dans une pauvreté extrême. Bien sûr, les mal pensants vont dire que l’exploitation du charbon pour produire de l’énergie est mauvais pour l’environnement. Mais le génocide programmé de ces 26 millions de personnes l’est tout autant. Choisissez votre Zyklon B, camarades !

    Parce qu’en plus de cramer le charbon pour l’énergie, on a aussi son utilisation dans l’acier. Mais comme la société américaine s’est désindustrialisé à vitesse grand V et aujourd’hui, elle ne représente que 12 % de son PIB. La majorité est composé des services et de la financiarisation.

    Quand on regarde les documentaires sur les Appalaches, on est frappé par l’abandon des villes. La plupart d’entre elles sont désertes, de temps en temps, on voit quelques voitures qui circulent. Mais surtout, on est frappé par le fait que toute l’ancienne industrie du charbon est encore là.

    Sur la route, vous voyez d’énormes semi-remorques qui transportaient des tonnes de charbon par jour, vous voyez sur le coté plus de 25 lignes de chemin de fer simultanés, vous voyez des ateliers pour réparer les machines de minage et vous voyez des centre-villes qui débordaient de vie autrefois et qui sont aujourd’hui visité par les fantomes et les rares hères qui continuent de s’accrocher à leur terre. Souvent des retraités.

    La drogue et les Appalaches, c’est une histoire qui remonte dans les années 1990. Avant ça, il y avait des problèmes de drogues classiques comme la marijuana et un peu de coke comme dans tous les pays. La première saloperie, qui va détruire une première génération, est l’oxycotin et c’est lié à la pénibilité inouie des travaux des mineurs.

    Vous travaillez 12 à 14 heures par jour, dans les profondeurs de la terre et quand vous sortez, une chaleur accablante vous assomme et vous êtes constamment fatigué et donc, la petite pilule vous permet d’oublier vos maux mentaux et physiques. Cela fait effet en quelques minutes et vous êtes au paradis. Evidemment, quand le charbon et l’argent coulait à flot, alors cela ne posait pas de problème, on pouvait mettre l’épidémie de drogue sous le tapis, mais quand les Appalaches ont fait faillite, l’argent est parti, la drogue et sa trainée de cadavres et de zombies sont restés. Et cela a continué à pourrir sur place jusque dans les années 2000 avec l’arrivée de l’Oxycodone qui est juste la même merde, mais commercialisée sous un nom différent.

    Quand on regarde la situation des Appalaches, on se dit qu'ils représentent la prédation américaine dans sa quintessence. Les problèmes de drogue, la faillite généralisée et des générations entières détruites sans que les autorités lèvent le petit doigt. Notons que l’économie des Appalaches était assez particulière, car jusque dans les années 1970, la monnaie utilisée était le Coal Scrip. C’était un papier émis par les entreprises minières, qui avait une valeur monétaire et qui n’était valable que dans les Appalaches. Cela permettait à la richesse de rester en circuit très court et de créer une population assez aisée. C’est intéressant que ce système, considéré comme étant injuste à l’époque, car contre les lois du marché, reviennent en force dans les circuits courts.

    L’oxycotine est commercialisée par Purdue Pharma, sans doute l’une des pires abominations de l’industrie pharmaceutique. Elle a soudoyé des médecins à prescrire des antalgiques à base d’opiacés, elle a nié constamment les effets de l’addiction et quand elle a été condamnée pour l’abus d’oxycotine, elle est passé à l’oxycodone en arguant que l’effet antalgique est toujours le même, mais avec une addiction moindre. Mais les études indépendantes ont révélé que c’était le contraire, en plus de l’effet antalgique, l’effet addictif était deux fois plus puissant.

    A l’époque, Purdue Pharma était basé en Floride et vous aviez un véritable “pipeline des pilules” qui arrivait chaque jour. Des Appalaches, vous aviez les dealers qui envoyaient des camions vides pour être chargés à bloc et ramener les précieuses pilules pour assommer les mineurs.

    Aujourd’hui, dans l’épidémie de drogue des Appalaches, on a toujours l’oxy, mais les deux principaux tueurs sont la meth et le fentanyl. Vous avez aussi l’héroïne synthétique. Et cette épidémie touche absolument tout le monde. Dans les Appalaches, on estime que 60 à 70 % se droguent d’une façon ou d’une autre et on ne trouvera pas une personne dans ces Etats qui ne soit pas touché par ces saloperies d’une façon ou d’une autre. Un shérif qui a dû mettre en prison une grande partie de sa famille, car en plus de consommer, beaucoup dealent également puisque l’argent vient à manquer rapidement.

    Un ancien toxico, qui aide aujourd’hui les personnes à s’en sortir, vous raconte qu’il pouvait avoir l’équivalent de 10 000 dollars de pilules et que cela pouvait partir en 3 jours tellement la demande est importante. Un fils de pasteur, élevé dans une famille aisée, aimante, peut tomber rapidement dans le piège en fumant simplement un joint de marijuana. Tout simplement parce que les dealers, humanistes dans l’âme, aiment mélanger du fentanyl avec de l’herbe. De cette façon, vous pouvez rendre accroc la personne avec la première bouffée.

    En plus de l’épidémie de drogue, vous avez un chomage massif où vous n’avez quasiment rien à faire. C’est aussi le problème de la diversification de l’économie qui les a frappé. La culture du travail disparait chez les jeunes, car ils n’ont que deux choix, soit un travail très dur à la mine, soit aller dans un paradis chimique. Car le charbon continue d’être exploité dans les Appalaches, mais en des quantités infimes et il est surtout exporté vers la Chine. Quand votre seul horizon professionnel est d’être enterré et travailler comme un forcené, alors on peut comprendre que les jeunes n’aient pas envie de bosser.

    De plus, vous avez des chèques qui tombent tous les mois, pour n’importe quel prétexte. C’est l’une des choses qu’on apprend dans ces documentaires est que c’est très facile d’avoir des aides de l’Etat. Et je l’ai toujours dit, les Etats-Unis sont le plus gros Etat providence au monde, c’est juste que c’est intriqué dans un système public-privé pour qu’on n’en voit pas la trace. Ainsi, ils peuvent exporter le fantasme de l’Etat au minimum dans le reste du monde pour que leurs multinationales viennent les piller.

    Vous pouvez justifier de n’importe quelle maladie ou d’un handicap et vous pouvez recevoir entre 600 à 800 dollars par mois. Si vous prenez quelques hamburgers et des boissons dans un resto, alors cela vous coutera 8 à 9 dollars, indiquant que le cout de la vie est très faible dans les Appalaches. Pour 10 dollars, vous pouvez avoir suffisamment de Fentanyl pour tenir 24 heures, ce qui fait 300 dollars par mois. Pour 100 à 200 dollars, vous pouvez avoir une petite piaule où vous pouvez vous doper en paix. Et le reste, vous le passez en nourriture. En sachant qu’en plus des aides, vous avez des bons alimentaires qu’on peut utiliser de deux façons.

    Sur des enseignes sélectionnées, vous pouvez avoir un certain nombre de PPN gratuits par semaine ou des pourcentages de remise dans certains établissements de restauration. Et vous n’avez pas besoin de payer le loyer, car l’Etat fournit parfois des logements gratuitement et vous pouvez aussi squatter dans la rue ou dans les tentes et l’argent du loyer, vous pouvez le mettre dans les pilules.

    Quand on regarde la situation des Appalaches, on se dit qu'ils représentent la prédation américaine dans sa quintessence. Les problèmes de drogue, la faillite généralisée et des générations entières détruites sans que les autorités lèvent le petit doigt.

    Le “Holler” désigne quelques maisons au bord de la route, généralement entre deux vallées dans les Appalaches. C’est un système quasi clanique avec des familles qui vivent au même endroit. Mais c’est dans les Hollers qu’on trouve la majorité de la population. Ainsi, si dans un Comté, vous avez 100 000 habitants, vous avez 10 000 qui sont dans les villes et les 90 000 sont dispersés dans les Hollers.

    Ce système prouve que l’Etat américain achète la paix sociale ou plutôt la mort en paix. Il finance un système qui maintient les populations en état de survivants drogués et il espère qu’un de ces jours, l’overdose va les en débarrasser. Le métabolisme des opiacés est très difficile à calculer, vous pouvez être en surdosage à n’importe quel moment, à cause de l’effet d’accumulation, même si vous avez pris la même dose pendant les 5 dernières années.

    De la même façon que l’Etat américain tue les peaux-rouges à petit feu. Après tout, le calumet de la paix et l’eau de feu sont toujours de rigueur. Aucune législation sur le tabagisme sous prétexte que le tabac est une de leurs traditions ce qui est une stupidité historique. Aucune loi sur l’alcool et quand vous buvez un coca dans une réserve indienne, la moitié est composé de sucre pur. Cancer, cirrhose et diabète sont des bons ingrédients pour exterminer une population en douceur sans laisser de traces.

    Et on peut penser que c’est la même technique qui est utilisé dans les Appalaches. En fait, l’épidémie des opiacés auraient dû liquider ces prolos depuis 10 ans. Sauf que d’une part, ils ont une démographie importante et ils ont une pulsion de vie. Il y a des remises en question, des gens qui arrivent à s’en sortir de ces merdes et qui racontent leur histoire au monde. Les thérapies de groupe, l’accompagnement et la spiritualité sont autant de moyens qu’ils utilisent pour lutter contre l’épidémie.

    La présence de Dieu et de Jésus est systématique, car la plupart des programmes de réhabilitation utilisent la spiritualité pour aider les gens à s’en sortir. Et ça marche, car la population des Appalaches est très croyante, avec une structure très tournée vers la famille. Mais cette dernière peut aussi être ce qui vous condamne à la drogue. Car cette épidémie est aujourd’hui multi-générationnelle où quand vous venez au monde, votre père est un deader, votre mère est une alcoolique et vos frères prennent des pilules dès l’âge de 14 ans. Autant dire que vous êtes mal barré.

    Mais quand vient le “moment” de s’en sortir, c’est aussi la famille qui vient à la rescousse. Beaucoup d’hommes le font pour leurs enfants, leur femme ou simplement avoir une vie meilleure. Dans cette fosse septique des Appalaches qui resplendit de la prédation américaine la plus pure, on a aussi des larmes de joie, de compassion et d’amour. Cette pulsion de vie est toujours présente et peut-être qu’elle les aidera à s’en sortir.

    Même si sur le long terme, les analystes sont assez pessimistes. Les habitants se barrent et dans 20 ou 30 ans, toute la région sera plus ou moins vide, les derniers survivants seront achevés par l’Establishment. Ce qui est intéressant est qu’aujourd’hui, l’épidémie de drogue s’étend à tout le territoire américain. San Francisco, Los Angeles, New York, vous avez des quartiers entiers où vous avez les drogués qui pourrissent sur place. Et ils bénéficient des mêmes aides mensuelles que ceux des Appalaches.

    Mais les autorités de cet Etat, qui dégueulent sur Dieu, la spiritualité et la famille, se contentent de payer en espérant qu’ils meurent dans la rue. Il n’y a aucun désir à les sortir de la merde ou à les accompagner sur le long terme, car cet accompagnement signifie qu’on doit être omniprésent, propre aux thérapies de groupe. On doit se réunir tous les jours, manger ensemble et faire des activités, car c’est ce qui permet de tisser le lien social qui a été éviscéré par 30 ans d’abandon dans ces régions. Des sentiments comme la compassion ou l’amour sont bien plus efficaces que toutes les autres solutions chimiques.

    Car si vous êtes un drogué dans les Appalaches, vous pouvez vous rendre dans une clinique de Suboxone. Le Suboxone est promu comme un médicament pour lutter contre l’addiction des opiacés. C’est aussi une forme d’opiacé et il va saturer vos récepteurs d’opiacés pour que vous n’ayez pas envie de prendre du Fentanyl ou d’autres merdes. Mais c’est remplacer une addiction par une autre et c’est davantage un sparadrap chimique sur une gangrène pour le cacher. Toutefois, si c’est fait à court terme et que c’est suivi d’un accompagnement, alors cela peut aider certains. Car le sevrage brutal, c’est impossible puisque les mecs deviennent fous.

    La physiologie des drogués, actifs ou non, est facile à identifier. Des mouvements convulsifs constants, les yeux qui balayent constamment de droite à gauche, des séquelles permanentes pour certains, d’autres arrivent à s’en débarrasser, mais il suffit qu’ils traversent une période d’anxiété pour que l’ancienne gestuelle réapparaisse.

    La faillite des Appalaches, l’épidémie de drogue sont des problèmes insolubles. Car face à ces problèmes, vous avez plein de donneurs de leçon qui vont éructer qu’il faut utiliser la formule Yakafon pour le résoudre. Chaque problème nécessiterait un mandat présidentiel à part entière, concentré entièrement sur lui.

    Ainsi, la drogue arrive du Mexique via les cartels et donc, il faut mener la guerre à ces cartels. Cela nécessite entre 500 000 à 750 000 soldats américains (la moitié de l’armée), détruire les laboratoires et les cartels simultanément pour éviter que 10 autres apparaissent quand on écrase une vermine. Cela implique une occupation du Mexique par les Etats-Unis pendant plusieurs années. Vu l’historique entre les deux, les descendants de Montezuma ne vont pas trop apprécier.

    On peut aussi couper les aides gouvernementales. Mais si vous le faites, vous devez assumer le génocide de 15 à 19 millions de morts dans les Appalaches. Car même actuellement, ils tombent dans la délinquance quand ils n’ont plus d’argent pour leur dope. Donc, imaginez si la veine gouvernementale est coupée du jour au lendemain. En revanche, on peut moduler les aides pour améliorer un peu la situation.

    Ainsi chez les jeunes, c’est rare qu’on les envoie en prison à part bien sûr s’ils sont en train de dealer. Et même dans ce cas, les juges sont plutôt cléments. Mais ils leur balancent des travaux d’intérêts généraux à faire palir Barabbas ! Ainsi, un témoignage nous dit qu’un jeune a écopé de 2 000 heures de travaux d’intérêt général. De 9 à 17h, il travaille au tribunal et de 17h à 23h, il travaille dans un drugstore et sorti à 23 heures, il doit faire une heure de route pour rentrer chez lui. Il est obligé de les enchainer pour s’en débarrasser le plus vite.

    Mais cela signifie qu’il va travailler 14 heures par jour pendant environ 5 mois et demi. De quoi le dégouter définitivement de la culture du travail. En revanche, on pourrait garder le rythme de la journée jusqu’à 17 heures, mais il serait payé au taux horaire minimum de l’Etat et ainsi, il apprendrait la culture du travail et serait mieux encadré pour faire la transition vers une vie d’adulte.

    Evidemment, les réseaux sociaux n’aident pas à aimer un boulot de 9h à 17h, car quand ils voient des péteux et des pétasses, gagner des millions en montrant leur cul à toute la planète, ce n’est pas le meilleur exemple d’une vie honnête dans le travail. La situation terrible dans les Appalaches montre aussi le système américain, dans sa prédation, sa férocité, son mépris de la vie humaine, dans toute sa quintessence.

    Ce sont des braves gens, qui ont travaillé durement toute leur vie, c’est les Appalaches qui ont fourni l’acier pour tous les chars américains pendant la Première et Seconde guerre mondiale. La grande révolution de l’acier, post Seconde guerre mondiale, c’est aussi eux et on les laisse crever en leur donnant une petite dîme mensuelle chaque mois.

    Et comme on l’a mentionné, l’épidémie de drogue s’est tellement propagé dans le territoire américain qu’on trouve des traces de cocaine jusque dans la Maison Blanche ! Mais est-ce que les Appalaches sont le futur des Etats-Unis ? Je ne le pense pas, car une grande partie de ce génocide est voulu par les élites américaines.

    Non, c’est la Californie qui est le futur des Etats-Unis. 0,1 % d’ultra-riches, vivant dans des villas resplendissantes, entourées par des barbelés électrifiés, le tout protégé par des sociétés militaires privées et les 99,99 % qui vivent comme des esclaves et des zombies drogués aux pilules.

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    Houssen Moshinaly

    Rédacteur en chef d'Actualité Houssenia Writing. Rédacteur web depuis 2009.

    Blogueur et essayiste, j'ai écrit 9 livres sur différents sujets comme la corruption en science, les singularités technologiques ou encore des fictions. Je propose aujourd'hui des analyses politiques et géopolitiques sur le nouveau monde qui arrive. J'ai une formation de rédaction web et une longue carrière de prolétaire.

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