CRASH A320 : PLUS DE DOUTE, LE CRASH ÉTAIT UNE ACTION VOLONTAIRE DU COPILOTE


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    Andreas-Lubitz

    La deuxième boîte noire de l’Airbus A320 confirme qu’Andréas Lubitz avait bien l’intention de faire s’écraser l’avion dans les Alpes, la semaine dernière.

    Il n’y a plus aucune incertitude. La deuxième boite noire de l’A320, qui s’est craché la semaine dernière, certifie que le copilote Andréas Lubitz était seul dans le cockpit et a bien eu l’idée de faire s’écraser l’avion. Le Bureau d’enquêtes et d’analyses  l’a fait savoir ce matin.

    Il a été prouvé que le pilote présent dans le cockpit a utilisé le pilote automatique pour engager l’avion en descente vers une altitude d’environ 30 mètres, puis, il a modifié le réglage du pilote automatique pour accélérer la vitesse de l’avion en cours de descente. Chaque jour, de nouvelles révélations sur le crash qui a coûté la vie à 150 personnes font surface.

    Voici des détails du déroulé de ce vol :

    L’Airbus A320-211 décolle de l’aéroport de Barcelone, en Espagne, à 10h, pour aller à Düsseldorf.

    Durant les vingt premières minutes de vol, tout est normal et l’avion était encore en communication normale avec le contrôle aérien français.

    A 10h27, au large de Toulon (Var), l’avion touche une altitude de 38 000 pieds.

    L’A320 était en contact avec le contrôle aérien, pour la dernière fois, à10 h 30

    Le pilote quitte son poste à 10h30 pour se rendre aux toilettes et le copilote prend les commandes.

    L’Airbus commence à descendre à 10h31, alors que le copilote est seul dans le cockpit. Selon le procureur de Marseille, il a consciemment pressé  un bouton, qu’on ne sait pas pour quelle raison, mais qui peut se traduire comme une détermination à détruire l’avion.

    A 10h 35, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), constate la descente et le silence radio de l’appareil, et donne l’alerte.

    Dans les secondes qui précèdent le crash : Les coups sur la porte du cockpit, blindée, se font de plus en plus violents comme pour défoncer la porte. Jusqu’à ce moment, la respiration du copilote est normale alors que les alarmes avertissant de l’approche du sol et les cris de passagers se font entendre.

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