Étiqueté : bactérie

Un gène (rouge et blanc) lié à un nanotube de carbone peut facilement se glisser dans les cellules végétales, où il est exprimé comme s'il s'agissait du gène de la cellule. Dans ce cas, l’insertion du gène de la protéine fluorescente verte fait briller les feuilles en vert. Le nanotube a un diamètre de 1 nanomètre et une longueur de plusieurs centaines de nanomètres - Crédit : UC Berkeley graphic by Ella Marushchenko 0

Avec les nanotubes, la modification génétique des plantes devient un jeu d’enfant

Insérer ou modifier des gènes dans des plantes relève plus de l’art que de la science, mais une nouvelle technique mise au point par l’Université de Californie à Berkeley pourrait permettre de concevoir génétiquement tout type de plante, en particulier avec l’édition de gènes via CRISPR-Cas9.

Tout le monde a sans doute entendu parler du microbiome, cette communauté de bactéries qui habitent principalement dans notre système digestif. Mais nous avons aussi un virome. On estime que chacun d'entre nous possède 38 000 milliards de bactéries. Un chiffre effarant. Cependant, notre virome est composé de 380 000 milliards de virus. Et leur compréhension est essentielle pour comprendre la bataille incessante qui se joue dans notre corps. 0

Faites connaissances avec votre virome, ces billions de virus qui habitent en vous

Tout le monde a sans doute entendu parler du microbiome, cette communauté de bactéries qui habitent principalement dans notre système digestif. Mais nous avons aussi un virome. On estime que chacun d’entre nous possède 38 000 milliards de bactéries. Un chiffre effarant. Cependant, notre virome est composé de 380 000 milliards de virus. Et leur compréhension est essentielle pour comprendre la bataille incessante qui se joue dans notre corps.

On commence à peine à comprendre notre relation avec des millions de compagnons qui sont avec nous. Les bactéries, les microbes et d'autres voyageurs qui nous accompagnent et nous aident dans certaines tâches. L'Holobionte désigne ces relations aussi étroites que complexes. Mais avec vos microbes, êtes-vous une seule entité ou une communauté ? 0

Moi, Holobionte : Êtes-vous une seule entité ou une communauté avec vos microbes ?

On commence à peine à comprendre notre relation avec des millions de compagnons qui sont avec nous. Les bactéries, les microbes et d’autres voyageurs qui nous accompagnent et nous aident dans certaines tâches. L’Holobionte désigne ces relations aussi étroites que complexes. Mais avec vos microbes, êtes-vous une seule entité ou une communauté ?

Les humains cataloguent toutes les espèces qu'ils trouvent. Cela dure depuis des siècles. Mais en réalité, cet effort nous a permis seulement de connaitre le millième du 1 % de toutes les espèces de la planète. Selon les estimations, il y aurait plus d'espèces microbiennes que d'étoiles dans l'univers. 0

Il existe plus d’espèces microbiennes que d’étoiles dans l’univers

Les humains cataloguent toutes les espèces qu’ils trouvent. Cela dure depuis des siècles. Mais en réalité, cet effort nous a permis seulement de connaitre le millième du 1 % de toutes les espèces de la planète. Selon les estimations, il y aurait plus d’espèces microbiennes que d’étoiles dans l’univers.

La fourmi de feu - Crédit : Clint Penick 0

De nouvelles pistes sur les antibiotiques utilisés par les fourmis

Une nouvelle étude offre des pistes sur l’utilisation des antibiotiques par les fourmis. Contrairement à ce qu’on pensait, 40 % des espèces de fourmis dans l’étude n’utilisaient pas d’antibiotiques ce qui suggère qu’elles ont développé d’autres mécanismes de défense. La fourmi voleuse, Solenopsis molesta, possède l’effet antibiotique le plus puissant dans cet échantillon.

Les chercheurs rapportent la découverte des Autolykiviridae qui est un nouveau groupe de virus dans les océans. Leur principale particularité est qu'ils n'ont pas de queues comme les virus normaux et que leur mode d'action est plus lent. Même si l'étude s'est concentrée sur les océans, il se pourrait qu'il y ait des Autolykiviridae chez les humains. 0

Autolykiviridae, un nouveau groupe de virus dans les océans

Les chercheurs rapportent la découverte des Autolykiviridae qui est un nouveau groupe de virus dans les océans. Leur principale particularité est qu’ils n’ont pas de queues comme les virus normaux et que leur mode d’action est plus lent. Même si l’étude s’est concentrée sur les océans, il se pourrait qu’il y ait des Autolykiviridae chez les humains.