Dans la science-fiction, les méchants créent souvent des clones pour contrôler le monde. La réalité du clonage est plus modérée même si ses applications sont nombreuses que ce soit pour avoir des organes en illimité ou même pour ressusciter des espèces disparues. Mais le clonage d’organismes multicellulaires reste un défi de taille.
De nouvelles recherches menées par une équipe internationale dirigée par le Département de zoologie de l’Université d’Oxford et l’Université nationale kapodistrienne d’Athènes, publiée dans la revue PNAS, montrent qu’un ancien rétrovirus, HK2, est plus présent chez les toxicomanes et qui pourrait donc être associé à la dépendance.
On voit beaucoup d’annonces sur les effets bénéfiques des probiotiques. Mais 2 recherches montrent que c’est plus nuancé. Des probiotiques standardisés n’ont quasiment aucun impact sur le microbiome alors que c’est l’objectif principal. La colonisation bactérienne reste un traitement thérapeutique, mais il faut l’adapter à chaque personne.
Une étude suggère des mécanismes très particuliers chez le rat-taupe nu concernant la reproduction et la vieillesse. Les individus reproducteurs vieillissent plus longtemps ce qui est contraire à l’évolution des mammifères des autres espèces.
Une recherche suggère que la Cuscute, une plante parasite, est capable de réguler l’expression des gènes de sa plante hôte pour désactiver ces mécanismes de défense. C’est la première fois qu’on découvre ce processus chez une plante parasite et cela pourrait offrir des pistes pour créer de la résistance dans les plantes agricoles.
En utilisant la tomate comme exemple, des chercheurs proposent une preuve à l’appui de la technologie CRISPR pour stimuler les rendements agricoles sur 3 principaux traits qui sont la taille, l’architecture de ramification et la forme de la plante.
Les chercheurs suggèrent qu’une commutation de neurotransmetteur est associée à l’attraction, notamment sur le lien parental. Et que ce processus peut réagir à des odeurs. C’est ainsi qu’un agneau peut localiser ses parents avec une grande précision dans un grand troupeau de moutons qui semblent identiques.
Des chercheurs ont réussi à analyser les expressions géniques de milliers de cellules individuelles de l’embryon de la mouche Drosophila melanogaster. Et à partir des données recueillies, ils ont pu reconstruire un embryon virtuel de mouche qui a les mêmes expressions géniques.