Étiqueté : Facteur de risque

Une étude suggère une augmentation considérable des cas d'automutilation chez les filles âgées de 13 à 16 ans. Et les demandes d'aides pour les maladies mentales sont moins nombreuses dans les zones défavorisées alors que les automutilations sont élevées dans ces zones. Cela suggère une absence de prise de soins à tous les niveaux et montre une tendance inquiétante de l'automutilation qui est l'un des principaux facteurs de risque du suicide. 0

Augmentation de l’automutilation chez les jeunes filles

Une étude suggère une augmentation considérable des cas d’automutilation chez les filles âgées de 13 à 16 ans. Et les demandes d’aides pour les maladies mentales sont moins nombreuses dans les zones défavorisées alors que les automutilations sont élevées dans ces zones. Cela suggère une absence de prise de soins à tous les niveaux et montre une tendance inquiétante de l’automutilation qui est l’un des principaux facteurs de risque du suicide.

Une analyse des cas de syndrome de Guillain-Barré à Porto Rico a identifié l'infection par le virus Zika comme un facteur de risque selon une étude publiée par JAMA. Mais la taille de l'échantillon, très modeste, évite de tirer des conclusions hâtives et on pourra simplement parler d'une petite corrélation qu'il conviendra d'étudier avec un échantillon plus large. 0

Zika et syndrome de Guillain-Barré, un petit facteur de risque

Une analyse des cas de syndrome de Guillain-Barré à Porto Rico a identifié l’infection par le virus Zika comme un facteur de risque selon une étude publiée par JAMA. Mais la taille de l’échantillon, très modeste, évite de tirer des conclusions hâtives et on pourra simplement parler d’une petite corrélation qu’il conviendra d’étudier avec un échantillon plus large.

Une femme a développé un trouble connu comme le syndrome de l'embolie graisseuse après une liposuccion. C'est une maladie assez rare, mais qui peut devenir grave. Avec la démocratisation de la liposuccion, il est important que les praticiens testent leurs patients pour déterminer s'ils ne sont pas vulnérables à cette maladie. 0

Une femme développe un trouble grave après une liposuccion

Une femme a développé un trouble connu comme le syndrome de l’embolie graisseuse après une liposuccion. C’est une maladie assez rare, mais qui peut devenir grave. Avec la démocratisation de la liposuccion, il est important que les praticiens testent leurs patients pour déterminer s’ils ne sont pas vulnérables à cette maladie.