Sur la reprise de conscience après une lésion cérébrale
La reprise de conscience après une lésion cérébrale aigue pose toujours un problème. Mais une nouvelle étude montre des pistes intéressantes sur l’état de conscience des patients.
La reprise de conscience après une lésion cérébrale aigue pose toujours un problème. Mais une nouvelle étude montre des pistes intéressantes sur l’état de conscience des patients.
En général, quand un médecin découvre quelque chose d’anormal dans une analyse médicale, il en informe son patient. Mais que se passe-t-il si c’est un chercheur qui découvre cette chose dans un échantillon de données médicales et qu’il y a un droit de savoir et de ne pas savoir qui peut s’appliquer.
Les résultats d’un essai clinique mené auprès de plus de 250 participants atteints de sclérose en plaques progressive ont révélé que l’ibudilast était meilleur qu’un placebo pour ralentir le rétrécissement du cerveau.
Une étude suggère que des infections par le virus du Nil peuvent provoquer des dommages au cerveau sur le long terme. Et cela inclut des personnes infectées qui ont développé des symptômes bénins ou aucun symptôme du tout.
Dans la première étude du genre, les chercheurs montrent comment une cascade d’événements dans les cellules du cerveau peut provoquer la maladie d’Alzheimer et comment cette découverte offre des pistes pour stopper et traiter cette réaction en chaine.
Une nouvelle grande étude suggère que les femmes blanches courent plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer par rapport aux hommes entre 60 et 70 ans.
Une recherche révèle un réseau dans le cerveau qui joue un rôle pour maintenir la conscience.
Quand les gens mentent de plus en plus, certaines zones du cerveau deviennent moins réactives. Ces résultats suggèrent que des petites transgressions peuvent devenir une habitude normative du mensonge.
Est-ce que la conscience existe ? Non, selon l’état actuel de la science, mais une discipline comme la neurobiologie tente quand même d’obtenir des réponses.
La plupart d’entre nous ont déjà eu une impression de déjà-vu et pour la première fois, des scans cérébraux de ce phénomène suggèrent que c’est un signe que notre cerveau contrôle sa mémoire.