Catégorie : Psychologie et psychiatrie

Pourquoi y a-t-il tellement de problèmes persistants dans notre quotidien même si les gens font tout pour les résoudre ? Il s'avère qu'une bizarrerie dans la façon dont les cerveaux humains traitent l'information signifie que lorsque quelque chose devient rare, alors nous avons tendance à le voir plus fréquemment dans différents endroits. 0

Pourquoi votre cerveau cherche constamment des problèmes… même quand il n’y en a pas ?

Pourquoi y a-t-il tellement de problèmes persistants dans notre quotidien même si les gens font tout pour les résoudre ? Il s’avère qu’une bizarrerie dans la façon dont les cerveaux humains traitent l’information signifie que lorsque quelque chose devient rare, alors nous avons tendance à le voir plus fréquemment dans différents endroits.

De nombreuses écoles adoptent des interventions sur la mentalité de croissance. Une méthode qui considère que le cerveau est comme un muscle et qu'on peut devenir intelligent si on fait suffisamment d'efforts. Pourtant, une méta-analyse montre que ces affirmations sont infondées dans la plupart des cas. 0

La mentalité de croissance, inefficace dans la plupart des cas

De nombreuses écoles adoptent des interventions sur la mentalité de croissance. Une méthode qui considère que le cerveau est comme un muscle et qu’on peut devenir intelligent si on fait suffisamment d’efforts. Pourtant, une méta-analyse montre que ces affirmations sont infondées dans la plupart des cas.

Une grande analyse, impliquant les données de centaines de milliers de personnes, indique que les troubles psychiatriques comme le déficit de l'attention, la schizophrénie ou le trouble dépressif partagent une base moléculaire commune. En revanche, des troubles comme la maladie de Parkinson ou la sclérose en plaques ont des sources beaucoup plus distinctes. 1

Les troubles psychiatriques partagent une base génétique sous-jacente

Une grande analyse, impliquant les données de centaines de milliers de personnes, indique que les troubles psychiatriques comme le déficit de l’attention, la schizophrénie ou le trouble dépressif partagent une base moléculaire commune. En revanche, des troubles comme la maladie de Parkinson ou la sclérose en plaques ont des sources beaucoup plus distinctes.

Notre mode de pensée change à différents moments de la journée et suit un schéma de 24 heures selon les nouvelles recherches publiées dans PLOS ONE. Les chercheurs de l'Université de Bristol ont pu étudier notre comportement de réflexion en analysant 7 milliards de mots utilisés dans 800 millions de tweets. 0

Une analyse de 800 millions de tweets révèle des modes de pensée différents sur 24 heures

Notre mode de pensée change à différents moments de la journée et suit un schéma de 24 heures selon les nouvelles recherches publiées dans PLOS ONE. Les chercheurs de l’Université de Bristol ont pu étudier notre comportement de réflexion en analysant 7 milliards de mots utilisés dans 800 millions de tweets.

Un projet de recherche mondial a cartographié la base génétique de la dépression majeure en identifiant 44 variantes génétiques qui sont des facteurs de risque pour la dépression dont 30 sont nouvellement découvertes. L'étude, réalisée par le Psychiatric Genomics Consortium et codirigée au Royaume-Uni par le King's College de Londres, est la plus grande étude à ce jour sur les facteurs de risque génétiques de la dépression majeure. 0

44 facteurs génétiques identifiés pour la dépression

Un projet de recherche mondial a cartographié la base génétique de la dépression majeure en identifiant 44 variantes génétiques qui sont des facteurs de risque pour la dépression dont 30 sont nouvellement découvertes. L’étude, réalisée par le Psychiatric Genomics Consortium et codirigée au Royaume-Uni par le King’s College de Londres, est la plus grande étude à ce jour sur les facteurs de risque génétiques de la dépression majeure.