Catégorie : Psychologie et psychiatrie
Pourquoi des revues scientifiques, qui semblent respectables avec une évaluation par les pairs, publient-elles des papiers sur des théories concernant les juifs, qui ont été infirmées depuis des décennies ?
Pourquoi y a-t-il tellement de problèmes persistants dans notre quotidien même si les gens font tout pour les résoudre ? Il s’avère qu’une bizarrerie dans la façon dont les cerveaux humains traitent l’information signifie que lorsque quelque chose devient rare, alors nous avons tendance à le voir plus fréquemment dans différents endroits.
Un éditorial estime que les microtransactions, pour acheter des récompenses virtuelles comme des coffres à butin dans les jeux en ligne, utilisent la même mécanique que les jeux d’argent, posant un risque pour des joueurs vulnérables.
De nombreuses écoles adoptent des interventions sur la mentalité de croissance. Une méthode qui considère que le cerveau est comme un muscle et qu’on peut devenir intelligent si on fait suffisamment d’efforts. Pourtant, une méta-analyse montre que ces affirmations sont infondées dans la plupart des cas.
Une grande analyse, impliquant les données de centaines de milliers de personnes, indique que les troubles psychiatriques comme le déficit de l’attention, la schizophrénie ou le trouble dépressif partagent une base moléculaire commune. En revanche, des troubles comme la maladie de Parkinson ou la sclérose en plaques ont des sources beaucoup plus distinctes.
Notre mode de pensée change à différents moments de la journée et suit un schéma de 24 heures selon les nouvelles recherches publiées dans PLOS ONE. Les chercheurs de l’Université de Bristol ont pu étudier notre comportement de réflexion en analysant 7 milliards de mots utilisés dans 800 millions de tweets.
Une étude suggère que les drogues psychédéliques comme le LSD favorisent la plasticité neurale chez les souris et les mouches. Des pistes qui permettraient à ces substances de combattre la dépression ou le trouble de stress post-traumatique.
Quelle est la taille nécessaire d’une minorité pour faire adopter son point de vue par toute la population ? Une étude suggère que cette minorité doit représenter 15 à 35 % de la population pour provoquer un basculement dans l’opinion.
Une nouvelle étude suggère que le taux de suicide est environ 2 fois plus élevé chez les enfants noirs âgés de 5 à 12 ans que chez les enfants blancs du même groupe d’âge.
Un projet de recherche mondial a cartographié la base génétique de la dépression majeure en identifiant 44 variantes génétiques qui sont des facteurs de risque pour la dépression dont 30 sont nouvellement découvertes. L’étude, réalisée par le Psychiatric Genomics Consortium et codirigée au Royaume-Uni par le King’s College de Londres, est la plus grande étude à ce jour sur les facteurs de risque génétiques de la dépression majeure.