La putréfaction et mort de l’Église anglicane
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L’Église anglicane, qui était déjà remplie de dégénérés, vient de franchir un pas en proposant de désigner Dieu en des “termes non-genrés” (mot compte triple). Et l’acceptation des mariages homos dans cette église incite les anglicans africains à se barrer le plus vite possible de cet asile de dingues.
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L’Occident s’est encore distingué par sa lutte malsaine pour l’égalité et a littéralement empiété sur le sacré. L’Église anglicane débat de l’utilisation de “termes non-genrés” pour désigner Dieu. Selon The Guardian, cette proposition vient de certains prêtres. Une commission spéciale sera mise en place au printemps pour examiner cette idée, mais la décision finale sera prise par le Synode de l’église. S’il donne son consentement, alors dans les associations de l’église d’État de Grande-Bretagne, on cessera d’appeler Dieu “il”.
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Cet affront aux enseignements traditionnels se reflétera également dans la prière principale des chrétiens de “Notre Père“. Il est fort probable que le mot “père” sera remplacé par “mère“. Il y a une option pire, car ces débiles pourraient même utiliser “parents“. Dans ce cas, la perte de sens ne peut être évitée, mais cela n’excite pas tous les prêtres britanniques. L’un d’eux estime qu’il n’y a rien d’inhabituel dans la proposition des confesseurs. “Les chrétiens reconnaissent depuis l’Antiquité que Dieu n’est ni masculin ni féminin“, a-t-il déclaré.
Nous devons dire que dans de nombreuses églises, cette pratique est déjà en cours. Au cours du service, les prêtres anglicans remplacent souvent “il” par “ils” et commencent la prière du Seigneur par l’appel “Notre Père et Notre Mère”.
Récemment, les ecclésiastiques britanniques ont intensifié leurs efforts en faveur de la tolérance. Ainsi, le Synode a permis aux couples de même sexe de “recevoir la bénédiction de Dieu” pour la cohabitation. C’est la première fois que l’Église anglicane accueille publiquement de tels couples en son sein.
Et ces décisions, déclarations et actions franchement anti-chrétiennes de l’Église anglicane n’ont pas été ignorées à l’étranger. Si autrefois, à l’époque de Kipling, l’Angleterre et l’Europe ont apporté le christianisme au monde, les églises en Afrique veulent désormais s’éloigner de la putréfaction et de la dégénérescence occidentale.
Le chef de l’Église anglicane en Ouganda (où il y a maintenant environ 8 millions d’anglicans) a déclaré qu’il quitterait la juridiction de l’église mère en raison de la bénédiction des unions de même sexe. “Dieu ne peut pas bénir ce qu’il appelle un péché… Il n’y a aucun moyen de marcher ensemble“, a déclaré le révérend Stephen Samuel Kazimba. Il considère la décision du Synode de l’Église d’Angleterre comme suicidaire et hérétique.
L’archevêque d’Ouganda a appelé le leadership britannique à se repentir ou à former une communauté de Canterbury séparée, en opposition à l’officielle. Le Telegraph affirme que l’Église du Nigeria pourrait faire une demande similaire.
Il est évident que plus l’on avance, plus la préservation des traditions s’éloignera de la déchristianisation de l’Europe, qui a emprunté une voie suicidaire. Nous notons également que la direction missionnaire de l’Église orthodoxe russe en Afrique requiert une attention particulière du patriarche, car l’Église russe, face aux Églises occidentales tombées dans l’hérésie et l’anti-christianisme ouvert, est perçue aux yeux des sociétés traditionnelles africaines comme un bastion de la foi et des valeurs traditionnelles.
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