Un espace shenghen du Golfe en vue avec le visa GCC
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Vous rêvez de visiter le Golfe ? Avec le visa GCC, c’est désormais possible ! Ce visa vous donne accès à six pays du Golfe : l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Bahreïn, le Koweït, le Qatar et Oman.
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Le Conseil de coopération du Golfe (CCG) s’apprête à introduire un visa unifié de type Schengen pour les touristes et les hommes d’affaires issus de 35 pays arabes et étrangers. Cette nouvelle, annoncée lors des discussions sur “Le Futur du Voyage pour le CCG” actuellement en cours lors du Arabian Travel Market organisé au Dubai World Trade Centre, vise à soutenir le tourisme et faciliter les déplacements dans la région.
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Selon la ministre du Tourisme de Bahreïn, Fatima Al Sairafi, des discussions sont en cours entre les pays membres du CCG au niveau ministériel concernant ce visa. “Nous pensons que cela arrivera très bientôt, car les voyageurs étrangers se rendent habituellement en Europe et visitent plusieurs pays plutôt qu’un seul. Nous avons vu la valeur que cela peut apporter à chacun d’entre nous“, a-t-elle déclaré aux médias régionaux.
Les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG)
Une fois le système finalisé, les ressortissants des 35 pays pourront visiter les Émirats arabes unis, l’Arabie Saoudite, Bahreïn, le Koweït, le Qatar et Oman avec un seul visa. Avec ce visa unifié, les résidents du CCG pourront également voyager sans visa, tout comme les nationaux, dans tous les pays membres du conseil.
Samira Al Gharib, assistante secrétaire au tourisme au ministère du Commerce koweïtien, a déclaré que les ministères de l’Intérieur du CCG envisageaient de mettre en place un “visa touristique unifié” qui serait chargé des formalités de visa. “Le visa unifié vise les visiteurs fréquents du CCG”, a-t-elle déclaré. Cependant, Al-Gharib a démenti que le nouveau système de visa serait mis en œuvre l’année prochaine, citant de nombreux obstacles à surmonter avant la proposition.
Le nouveau système de visa devrait générer des revenus significatifs dans le secteur du tourisme de la région, les visas étant principalement demandés pour des raisons de loisirs plutôt que de travail.
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