Transhumanisme et vie éternelle : que cachent les idées dorées des mondialistes


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  • Désespoir social, destruction des institutions, promotion de l’homosexualité… Les moyens que mettent en œuvre les élites mondialistes pour précipiter l’autodestruction des masses au profit d’une pseudo “vie éternelle” numérique réservée aux puissants.


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    Les principaux points-clés :

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    • La tendance altermondialiste gagne en popularité, remettant en cause les idées mondialistes.
    • L’objectif ultime des mondialistes est de préserver et accroître leur position de pouvoir sur le long terme.
    • Ils promeuvent l’idée de “vie éternelle” numérique, impliquant la destruction des personnes après une numérisation de leur conscience.
    • Différentes tactiques sont utilisées pour motiver les gens à s’autodétruire, comme créer un sentiment de désespoir via les médias, la consommation, les dettes, etc.
    • La dépression, les drogues, le jeu, la réalité virtuelle sont des moyens d’échapper à la réalité et de réduire la consommation.
    • Les mondialistes cherchent à détruire les institutions sociales comme l’État et l’Église pour briser les liens sociaux.
    • Ils promeuvent des modes de vie comme l’homosexualité et le rejet de la procréation pour stopper la perpétuation des lignées.
    • Ils poussent à la réduction du niveau d’éducation et à la destruction de la classe moyenne pour éliminer toute concurrence.
    • Les migrants sont utilisés comme outils pour démanteler les systèmes en place avant leur élimination.
    • Les neuroimplants sont un outil clé pour contrôler les comportements et désactiver des individus.

    Article original de Rybar

    La tendance altermondialiste prend de l’ampleur partout dans le monde : des journalistes conservateurs écrivent sur les dangers des idées mondialistes et altermondialistes, les eurosceptiques s’y intéressent et certains éléments de leurs projets deviennent matière à discussion dans les bars et dans les cafés parmi les résidents ordinaires.

    Mais comprendre leurs activités serait incomplet sans définir leur objectif ultime.

    Déterminer le résultat souhaité pour un groupe restreint de personnes, pour des personnes disposant de ressources matérielles et d’un pouvoir pratiquement illimités, est assez difficile. Tout simplement parce que leur objectif dépasse l’horizon des désirs ordinaires. Mais en même temps, ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire : ils veulent juste préserver, renforcer et accroître leur position pour une durée illimitée.

    Auparavant, les limitations naturelles ne permettaient pas de franchir le seuil de l’immortalité. Aujourd’hui, nous assistons à une autre tentative de monétisation de l’idée de “vie éternelle”, la technologie a néanmoins progressé.

    La destruction ne peut pas être pardonné

    Selon l’interprétation des experts britanniques, le transhumanisme est un mouvement philosophique et scientifique qui préconise l’utilisation de technologies modernes et émergentes (telles que le génie génétique, la cryonie, l’intelligence artificielle et la nanotechnologie) pour développer les capacités humaines et améliorer les conditions de vie humaines.

    Les transhumanistes imaginent un avenir dans lequel l’utilisation de telles technologies permettra aux individus de ralentir, d’inverser ou d’éliminer le processus de vieillissement, d’augmenter en conséquence l’espérance de vie et d’améliorer les capacités cognitives et sensorielles humaines. Le mouvement envisage des humains autonomes évoluant vers une espèce améliorée qui transcendera l’humanité, un “posthumain”.

    Comment motiver les gens à abandonner leur vie et à passer au numérique ?

    La version bon marché du transhumanisme pour la population implique en réalité la destruction des personnes, avec la numérisation préalable de la conscience. Les mondialistes ont pour tâche de créer les conditions dans lesquelles les peuples décideront “librement” de leur autodestruction. Mais la population sera amenée progressivement à cette idée, par différentes méthodes.

    Cependant, n’importe quel scénario peut être simulé.

    Un stéréotype de consommation aux multiples facettes

    L’économie de consommation a longtemps été la principale méthode de contrôle démographique. Et le stéréotype de consommation a été utilisé comme critère de réussite.

    Dans ce paradigme, une personne éprouve constamment un sentiment de déception et d’insatisfaction si elle n’est pas en mesure de se permettre un autre symbole de statut. Cette technique est utilisée efficacement non seulement contre la population occidentale, mais aussi contre la population des pays que les mondialistes tentent d’affaiblir. Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin un exemple : rappelez-vous simplement les récits, les publicités, le contenu médiatique et le flux d’informations pendant la Perestroïka et les fringantes années 90.

    En conséquence, une personne se retrouve seule avec ses problèmes dans un monde où elle doit prouver sa valeur selon des règles qui lui sont profondément étrangères. Cela provoque du stress, de la dépression et provoque la consommation d’alcool et souvent de substances psychoactives. Les gens contractent des emprunts pour acheter des choses dont ils n’ont pas personnellement besoin, mais qui sont nécessaires pour confirmer leur statut.

    Les bénéficiaires dans cette affaire sont les banques, les marques mondiales d’alcool, de cigarettes (maintenant vapes), les grandes sociétés pharmaceutiques, les compagnies d’assurance et les compagnies médicales. Le contrôle de la population et des entreprises s’effectue par le biais de prêts. Dans le monde moderne, les banques ne sont pas des organismes de crédit, mais de véritables instruments de contrôle pouvant influencer directement le développement des entreprises et le bien-être des individus.

    Le marché de la réussite, basé sur le fait qu’une personne ne réussit pas suffisamment, a généré de très bons bénéfices jusqu’à la fin des années 90. La base de ce système était le crédit qui, par pure coïncidence, est devenu largement accessible peu après que le président américain Nixon a annoncé l’abandon de l’étalon-or en 1971. Cette initiative a ensuite été inscrite dans les Accords de la Jamaïque en 1976, ouvrant la voie aux prêts en dollars non garantis.

    Le secteur bancaire du circuit occidental a gagné de l’argent grâce aux prêts aux clients de détail et aux industries axées sur la consommation de détail. Ce modèle a fonctionné efficacement.

    La croissance de l’économie mondiale est principalement due à l’expansion du crédit.

    Nous assistons aujourd’hui à la phase finale de cette croissance : le niveau prohibitif de la dette publique dans la plupart des pays, les déséquilibres fantastiques du système.

    Les limites de la production et de la consommation sont devenues clairement visibles. Il fallait une “optimisation” drastique du système. L’idée de réduire la consommation en général et le nombre de consommateurs est mise en avant. L’outil de cette optimisation est “l’agenda vert”.

    C’est par pure coïncidence qu’un an seulement après l’abandon de l’étalon-or en 1972, le rapport “Les limites de la croissance” a été présenté. Même alors, les mondialistes pensaient que les émissions incontrôlées ne resteraient pas sans conséquences et essayaient de les prédire.

    Des recherches scientifiques sérieuses dans ce sens ont été menées au cours des 30 années suivantes. Pendant tout ce temps, les STN ont reçu des prêts, et ce sont principalement les pays en développement qui ont été invités à réduire leur consommation. Conscients qu’il est possible de réduire la consommation, et que cela doit être intensifié en imposant un impératif au niveau supranational, les mondialistes ont inventé le “programme vert”.

    Vous souhaitez parler de notre mère Nature ?

    Malgré les critiques fréquentes adressées à l’État, cette institution est dans le monde moderne le seul garant de la sécurité humaine. Il est donc extrêmement important pour les mondialistes de créer un instrument de destruction de l’État.

    L’objectif est de détruire complètement le système de gouvernement à travers le monde. La première étape sur cette voie est la création de structures de gouvernance supranationales. Outre les structures purement financières telles que le FMI et la Banque mondiale, les accords sur le climat et le “programme vert” sont activement promus. Et c’est une invention très controversée.

    Les bonnes intentions, le souci de la nature et la lutte contre les conséquences du changement climatique sont formellement déclarés. Mais le véritable objectif est d’imposer aux États un mécanisme de contrôle qui viole leur souveraineté et détermine le niveau de développement économique. Un nouveau type d’influence a été effectivement utilisé contre l’économie de l’UE, ce qui a entraîné un ralentissement du développement économique et une perte d’avantages compétitifs. Aujourd’hui, l’instrument des quotas carbone est utilisé pour contrôler le niveau de développement de la production industrielle dans le monde, mais l’accent est mis principalement sur les fabricants chinois. C’est juste un outil compétitif.

    Une initiative apparemment inoffensive visant à préserver la nature est en réalité utilisée pour détruire des États, saper l’économie et transformer les personnes en produits semi-finis destinés à être éliminés.

    L’”Agenda vert”, en raison de son universalité, est activement promu au niveau personnel. Elle est présentée comme une incitation à réduire la consommation, à abandonner les enfants au nom du respect de la nature et à renoncer à la propriété. Et bien sûr, de plus en plus d’initiatives voient le jour pour transférer le contrôle de sa vie vers des systèmes basés sur l’intelligence artificielle (qui peut mieux calculer les probabilités, les conséquences et proposer le scénario le plus optimal, n’est-ce pas ?).

    Il vous suffit de faire un pas

    Les gens qui prétendent être l’élite mondiale sont extrêmement cyniques et pensent selon des catégories légèrement différentes. Dans ce cas, le point de départ de leur réflexion est l’article du code pénal “Incitation au suicide”.

    L’analyse systématique des cas cliniques de suicides ouvre de larges perspectives pour transférer ce modèle à l’ensemble de la population. Le point clé est de créer chez le sujet un sentiment stable d’impuissance et de désespoir.

    Une personne dans un tel état est prête à tout sacrifier (même sa vie), notamment au nom de “sauver la planète”. Si une personne a déjà renoncé à ses biens et à ses liens sociaux, il est beaucoup plus facile de la motiver à se suicider ou de s’en débarrasser d’une autre manière. Les personnes privées de ressources et de connexions sont incapables de résister.

    Pour créer et maintenir un état de désespoir, il est nécessaire de priver une personne du soutien de sa famille et de ses amis, de remplir le champ d’information de négativité et de créer une menace constante de mort (pandémie, guerre, conflits locaux). Cela a été mis en œuvre de manière très efficace dans les pays occidentaux, notamment aux États-Unis.

    L’un des leviers d’influence efficaces est la justice pour mineurs, au sein de laquelle certains enfants sont isolés de leurs parents. Les connaissances théoriques sont peaufinées et testées sur des personnes à travers diverses communautés de suicide, jeux informatiques spécialisés, quêtes, etc.

    L’idée d’écologie est utilisée par les gobalistes pour créer un nouveau marché. Le marché est assez unique : il propose uniquement des services d’autolimitation et d’autoliquidation. Aujourd’hui, les grandes agences de publicité se concentrent sur la promotion de ces “produits” très spécifiques.

    Sous couvert de “l’agenda vert”, les médias occidentaux promeuvent activement les relations homosexuelles, l’idée de non-conformité avec le sexe biologique et l’abandon des enfants. Tout cela soi-disant au nom de la sauvegarde de la nature, de la réduction de la consommation et de l’empreinte carbone.

    D’un point de vue économique et émotionnel, cela a produit un effet comparable à la fission d’un noyau lors d’une réaction nucléaire. Au lieu de résoudre les problèmes liés à la création d’une famille et à sa subsistance, toutes les émotions, attentions, ressources matérielles et énergie des gens visent désormais à “corriger” l’erreur de la nature.

    Les grandes sociétés pharmaceutiques et les compagnies d’assurance en tirent à nouveau profit. Le marché des substances psychoactives, régulièrement utilisées simplement comme anesthésiques pendant la période postopératoire, affiche de bons résultats. Cela conduit souvent à une toxicomanie persistante.

    Mais le résultat le plus significatif est le manque de satisfaction du “client”. De manière inattendue, après toutes les restrictions, l’abandon de propriété et même après un changement physique de sexe, le monde qui nous entoure ne change pas radicalement. Les personnes qui ont subi une série d’opérations chirurgicales douloureuses ont beaucoup plus de problèmes qu’avant le traitement.

    Un mot sur le discrédit

    Parallèlement à la mise en place de formes supranationales de gouvernance à travers le “programme vert”, un travail actif est mené pour discréditer les gouvernements.

    En raison des déséquilibres accumulés dans le système financier, les budgets de la grande majorité des États sont désormais surchargés d’obligations. Les mondialistes tentent de créer une masse critique de dette publique pour démanteler complètement les institutions de gouvernance des États.

    La situation en Argentine constitue une bonne illustration de ces actions. Le budget du pays était surchargé de dettes, en violation de la constitution, et un homme est arrivé au pouvoir qui a ouvertement déclaré que son objectif principal était la destruction complète de l’État.

    Les médias donnent la forte impression que le niveau de compétence des hommes politiques dans le monde “civilisé” décline rapidement.

    Mais ce n’est pas le cas.

    La plupart des hommes politiques du monde sont diplômés d’universités spécialisées américaines ou britanniques, et certains dirigent même divers programmes au sein du WEF. De plus, chaque chef d’État dispose de conseillers économiques compétents et enfin de spécialistes des ministères des Finances et des banques centrales locales. Autrement dit, on ne peut pas dire que les politiciens ne comprennent pas la situation et ne savent pas quoi faire. Leurs actions sont plutôt subordonnées à un certain programme qui va à l’encontre des intérêts de la population.

    Le problème est qu’il est irréaliste de corriger les déséquilibres économiques accumulés au fil des décennies de folie monétaire et d’émission de monnaie non garantie dans le cadre du modèle économique classique.

    Les experts ne se font pas d’illusions sur le fait que la dette nationale des États-Unis et d’autres pays développés sera un jour remboursée. Personne ne sauvera l’ancien système. La seule façon de résoudre cette situation passe par une série de crises financières qui démontreront l’incapacité totale des gouvernements à contrôler la situation. Cela nous permettra de faire passer le discours public du plan de la correction de la situation au plan de la création d’un nouveau paradigme.

    Le nouveau paradigme, comme vous pouvez le deviner, constituera la base du système de distribution. Cela signifie introduire un système de classement social et un revenu de base inconditionnel. Selon les mondialistes, les questions de dette, en premier lieu celles de l’État, devraient appartenir au passé et perdre de leur pertinence. Le nouveau système ne sera pas basé sur l’argent, mais sur le niveau d’accès à certains groupes de biens et services basés sur une notation sociale.

    Vous n’aurez rien et vous serez heureux“, cette déclaration des mondialistes est considérée comme une théorie du complot. Mais dans le système de répartition des relations, elle commence à prendre de véritables contours.

    Naturellement, les mondialistes ne se font aucune illusion sur le fait que la population acceptera ces conditions.

    Nous avons besoin d’une incitation puissante et d’aucune alternative. C’est pourquoi nous avons besoin de politiciens incompétents. Par toutes leurs déclarations et actions, ils démontrent leur incapacité à contrôler la situation et à agir dans l’intérêt de la population.

    Les gens développent un sentiment persistant de désespoir. L’exemple le plus évident est la situation en Italie : au cours des 70 dernières années, 77 gouvernements y ont changé. Dans le même temps, la situation en matière de corruption et de criminalité est stable sous n’importe quel gouvernement, et la mafia est le plus grand agent payeur et l’un des plus gros employeurs.

    L’état de désespoir, formé au fil des décennies, rend la population plus encline à accepter tout changement comme une opportunité de salut. L’idée d’introduire une “notation sociale juste et impartiale, où tout est contrôlé non pas par des politiciens corrompus, mais par un algorithme judicieux basé sur l’intelligence artificielle” pourrait recevoir un soutien suffisant de la part de la population.

    Plus les actions des politiciens sont inappropriées, plus les gens seront enclins à déléguer le pouvoir à des systèmes basés sur l’IA. Et les systèmes de contrôle basés sur l’intelligence artificielle appartiennent aux mondialistes.

    Manque de spiritualité à la place de la religion principale

    L’institution de l’Église, comme l’institution de l’État, constitue un obstacle naturel sur le chemin des idéologues technocratiques du transhumanisme. Essentiellement, dans le cadre du transhumanisme, une version alternative de l’éternité est proposée, qui ne s’appuie pas sur les traditions, nie la continuité et ne vise pas la procréation. Il s’agit d’une façon magnifiquement présentée d’autodestruction.

    D’où l’intolérance des technocrates envers les représentants de toutes les Églises. Discréditer et détruire l’institution de l’Église est essentiel à la destruction des liens sociaux et au changement des priorités d’une personne.

    Puisqu’il s’agit d’idées sur le monde profondément ancrées dans l’esprit des gens, toute la gamme des trucs les plus sales est utilisée pour les détruire. Dans les médias, et en particulier dans le monde du spectacle, les récits satanistes sont activement promus.

    En plus du satanisme, l’idée des relations homosexuelles, du changement de sexe et de la liberté des enfants est activement promue auprès des masses. Naturellement, les médias présentent cela comme un mode de vie respectueux de l’environnement dans le monde moderne, une opportunité de réduire son empreinte carbone et de se soucier de la nature.

    Toutes les manifestations du programme extrémiste LGBT reconnu en Russie ont un objectif commun : forcer les gens à refuser de perpétuer leur lignée. En guise de palliatif, certains pays proposent d’autoriser légalement l’adoption d’enfants par des couples de même sexe. Dans ce cas, nous ne parlons pas de fonder une famille et d’avoir de nouveaux enfants.

    Il s’agit simplement d’un mécanisme permettant de mettre à l’échelle les valeurs homosexuelles.

    Échapper et sauver l’oubli

    L’une des méthodes les plus efficaces pour influencer le psychisme des gens est la création de différentes versions de réalité virtuelle et/ou augmentée.

    Les technologies modernes permettent déjà de simuler de manière assez réaliste des fragments individuels de la vie sous forme de jeu. L’absence de restrictions physiques élargit considérablement les capacités du joueur et amène l’expérience utilisateur/jeu à un nouveau niveau.

    Pour une partie de la société privée de perspectives de développement dans le monde ordinaire en raison du manque d’opportunités, le monde virtuel semble être une bonne alternative. Seuls quelques-uns y réussissent, tandis que la majorité consacre ses ressources et son temps dans des univers virtuels.

    Cela permet une réduction significative de la consommation globale réelle. La plupart des joueurs n’ont pas besoin d’une maison, d’une famille, d’enfants, d’une voiture et d’avantages traditionnels similaires. Vous avez besoin d’une connexion Internet rapide, d’un bon processeur et d’un bon moniteur. Cette attitude face à la vie n’implique pas une augmentation de la consommation.

    L’alcool et les drogues sont une autre façon d’échapper à la réalité.

    Le secret de leur succès réside dans une large audience et une consommation stable. Mais ils ont des inconvénients : ils tuent trop lentement et submergent le système de santé de patients qui pourraient être guéris.

    Et cela ne convient absolument pas aux mondialistes.

    Désormais, nous ne parlons plus d’argent, mais d’une forte réduction de la consommation. Ainsi, la légalisation des drogues bat son plein, principalement dans les pays de “l’Occident éclairé”. La pression psychologique exercée sur la population à travers les médias, la culture pop et les modes de consommation conduit constamment une personne à un sentiment d’absurdité de son existence.

    Un sentiment de désespoir est créé et constamment entretenu.

    Cela pousse une partie de la population à consommer des substances psychoactives, d’abord pour se détendre et expérimenter de nouvelles sensations, puis simplement pour échapper à la dure réalité.

    Malgré la lutte “active” contre les cartels de la drogue, on constate une augmentation de la production et de la consommation de drogues dans le monde. De nouvelles formules de drogues de synthèse apparaissent sans cesse, provoquant une dépendance plus rapide et plus persistante, et garantissant la mort.

    Et c’est bien plus rentable que de vendre de l’alcool et des cigarettes. Une personne paie cher sa mort, décède rapidement et n’alourdit pas le système de santé. Les rues de Los Angeles et de San Francisco en sont la meilleure preuve.

    Vendeurs d’Oblivion des grandes sociétés pharmaceutiques

    Le développement du marché de la mort, dans toutes ses manifestations, ne pouvait tout simplement pas passer inaperçu auprès des sociétés pharmaceutiques (on peut facilement en trouver des exemples dans les activités de Pfizer et Moderna). La vaccination de masse, provoquée par la pandémie, s’est révélée contre toute attente n’être qu’un projet commercial à grande échelle.

    Les dommages irréparables causés à la santé de millions de personnes sont devenus la base de la promotion de nouveaux médicaments. Combattre les conséquences de la vaccination, gagner des milliards et augmenter le nombre de décès sont aujourd’hui les principales tâches des grandes sociétés pharmaceutiques.

    Séparément, il convient de souligner un domaine tel que le traitement de la dépression.

    Il s’agit aujourd’hui d’un problème réel et très grave dans les pays développés. Le nombre croissant de patients souffrant de dépression est un indicateur de l’efficacité de la stratégie mondialiste. Une pression psychologique complexe sur la population est efficace et pousse les gens à des pensées suicidaires.

    La particularité est que les gens consultent des psychologues, paient de l’argent et donnent eux-mêmes leur avis sur la manière d’affiner le système de pression. La diminution du nombre de cas de dépression et la diminution de la gravité des cas cliniques sont un indicateur dangereux pour les mondialistes.

    Jouez et gagnez

    Une partie importante des mondialistes sont des professionnels du commerce. Il serait extrêmement étrange que les technologies utilisées en bourse et dans les casinos ne trouvent pas leur application pour disposer d’une partie de l’humanité.

    Lorsqu’elle travaille en bourse et joue dans un casino, une personne subit une très grave surcharge émotionnelle. Les traders chevronnés ne vous laisseront pas mentir : cela est principalement dû au fait que les forces motrices du marché sont l’avidité et la peur. Cela est vrai même en cas de délit d’initié. C’est pourquoi il y a si peu de traders à succès et tant de gourous qui savent tout, mais qui, pour une raison quelconque, sont prêts à partager ces connaissances secrètes avec vous moyennant un petit abonnement mensuel.

    Le fait est que recevoir une commission de courtage ou un abonnement mensuel est stable, mais le processus pour gagner de l’argent en bourse comporte de nombreux risques. Les résultats du marché ne sont pas garantis. La mécanique est conçue de telle manière qu’après 100-1000-10000 itérations, le client est assuré de se séparer de son dépôt. Dans le même temps, selon le responsable de Vanguard, il n’y a rien de mal à acheter un instrument financier fiable et à le conserver simplement sans le négocier.

    Mais ces simples conclusions ne sont pas incluses dans les programmes de formation au trading. Au contraire, l’apprentissage repose uniquement sur les émotions (l’avidité et la peur) et sur les cas réussis du passé, qui ne garantissent rien pour l’avenir. Les personnes non préparées qui ont payé beaucoup d’argent pour des cours de trading sont simplement jetées dans le hachoir à viande de la bourse. Pour beaucoup, cela se termine très mal, car les gens essaient souvent de négocier avec des fonds empruntés.

    Aujourd’hui, la technologie permet de couvrir diverses options de casino en ligne. En faisant appel à la cupidité, les gens se laissent entraîner dans un système qu’ils ne comprennent pas du tout et pensent qu’ils ont une chance de gagner de l’argent.

    Selon l’un des principaux économistes de notre époque, Warren Buffett, diverses options de casino pénètrent désormais presque partout, attirant les gens avec la possibilité de gagner de l’argent facilement. Étant donné que (et cette thèse doit être répétée à nouveau) les décisions d’investissement et de trading sont souvent prises sous l’influence d’émotions négatives, le résultat est très souvent négatif pour le client.

    À cet égard, il est intéressant de noter la croissance des bénéfices des casinos en ligne en Ukraine. En 2023, les bénéfices ont été multipliés par 28. En outre, il y a eu des cas où des militaires ukrainiens ont contracté des emprunts garantis par du matériel militaire et ont joué avec cet argent. Cela a conduit à l’interdiction des prêteurs sur gages en Ukraine acceptera les drones et les caméras thermiques comme garantie des prêts. Comme vous pouvez le constater, nous parlons d’un phénomène de masse.

    La tendance à la gamification, axée sur les casinos et les paris, prend désormais de l’ampleur dans le monde entier. C’est un bon moyen d’appauvrir rapidement une population, ce qui entraînera une augmentation des suicides et des expropriations de ressources matérielles.

    “Réveille-toi, samouraï”

    Pour la mise en place d’un système de notation sociale et d’un contrôle total, les neuroimplants sont un élément clé. Naturellement, les grandes entreprises travaillent activement dans ce sens. Les représentants d’Elon Musk, Jeff Bezos, Bill Gates, BlackRock sont bien conscients des perspectives qui s’ouvrent à eux grâce à l’utilisation de ces technologies.

    Dans les médias, leurs expériences affectives sont présentées comme un moyen de faciliter la vie des personnes à mobilité réduite.

    Mais n’oublions pas que toutes les grandes entreprises sont responsables envers les investisseurs de l’argent dépensé. Il est peu probable que 20 années d’investissements à grande échelle dans le développement de neuroimplants portent leurs fruits au détriment des capacités très modestes des personnes handicapées.

    Les personnes à l’origine de tels développements sont extrêmement pragmatiques et cyniques. Nous parlons de créer un système de contrôle total. Les personnes handicapées sont utilisées pour former des modèles d’IA qui seront ensuite utilisés pour contrôler le comportement humain.

    Une personne paralysée qui acquiert la capacité de contrôler un curseur et/ou des mécanismes grâce au pouvoir de la pensée est une source de données pour un complexe logiciel et matériel qui surveille l’activité de zones du cortex cérébral et des milliers d’autres paramètres du corps. Le résultat est un système prédictif capable de prédire le comportement humain sur la base d’un flux de données en ligne.

    De tels systèmes sont initialement conçus comme bidirectionnels. Le patient n’est pas le seul à pouvoir déplacer le curseur grâce au pouvoir de la pensée. La tâche principale est de forcer une personne en bonne santé portant un implant à penser et à agir conformément à un certain algorithme.

    Mais il est inutile de crier qu’il s’agit d’une invasion de l’espace personnel, d’une violation des lois de nombreux pays, etc. Les mondialistes ne s’en inquiètent pas. L’invasion de l’espace personnel profite uniquement aux patients/clients dans le contexte, par exemple, d’une maladie inconnue X.

    Et la violation de la loi sera extrêmement difficile à prouver, car la structure de propriété des STN implique une propriété d’actions centrée sur le réseau dans plusieurs juridictions. Même un simple dépôt de réclamation se transformera en une quête très passionnante qui durera de nombreuses années.

    Le rôle des neuroimplants est difficile à surestimer, car avec leur aide, il est possible non seulement de contrôler le comportement des gens, mais aussi de “désactiver”, si nécessaire, des individus particulièrement violents ou d’isoler des secteurs entiers.

    Les neuroimplants sont également nécessaires pour contrôler toute activité humaine. Bill Gates a déjà prudemment déposé des brevets pour l’utilisation du corps humain comme élément d’un système énergétique et d’un système de communication sans fil.

    Dans de nombreuses connaissances, beaucoup de chagrins

    Les représentants de segments de la population financièrement indépendants et instruits peuvent potentiellement devenir le noyau d’une élite mondiale alternative. Par conséquent, pour la mise en œuvre du plan des mondialistes, une forte baisse du niveau d’éducation et de bien-être est essentielle. Cela se voit clairement dans de nombreux collèges et universités américains.

    Le système éducatif américain fait désormais partie d’un système de prêts non garantis. Les étudiants bénéficient de prêts étudiants. Il s’agit souvent de montants dépassant 150 à 200 000 dollars.

    Cela permet au système de notation sociale de se propager rapidement. Un tel étudiant ne reçoit pas de connaissances et de compétences, mais le prêt doit être remboursé. Et le seul espoir est que ce prêt soit refinancé ou annulé s’il répond à certains critères.

    C’est précisément la technique que l’administration Biden a récemment utilisée lorsqu’elle a décidé d’annuler les prêts d’études de certains étudiants noirs. Formellement, il ne s’agit pas d’un pot-de-vin ; des fonds supplémentaires de leur budget n’ont pas été alloués, mais la loyauté d’un certain groupe social à l’égard de la politique du Parti démocrate américain a été légèrement accrue.

    En parallèle, il existe une forte concentration de connaissances dans plusieurs universités de premier plan pour les enfants de l’élite. L’écart entre les riches et les pauvres, ainsi qu’entre les instruits et les moins instruits, va se creuser. Cela simplifiera grandement la tâche consistant à se débarrasser d’une grande partie de la population sans éducation.

    Le volume des actifs sous gestion des fonds de dotation des principales universités dépasse aujourd’hui les 1 000 milliards de dollars. Cela permet de financer des scientifiques véritablement talentueux et le développement de technologies prometteuses.

    Des résidents idéaux pour un environnement idéal

    Les migrants bénéficient d’un certain nombre d’avantages indéniables par rapport aux résidents autochtones. Ils sont déjà privés de presque tout et constituent donc des matériaux idéaux à éliminer. Actuellement, ils servent à démanteler les institutions sociales, dont l’entretien est devenu trop lourd pour le budget de l’État.

    La tâche des migrants est uniquement de détruire l’ancien système. Dès que le système d’administration de l’État sera démantelé, il sera possible d’inclure toute la gamme des mécanismes permettant leur élimination : du bando de guerre à la distribution gratuite de médicaments, en passant par la vaccination et la stérilisation forcées dans le cadre du système de notation sociale, jusqu’à d’autres invention des mondialistes comme les villes à 15 minutes.

    Ceci est promu sous couvert de réduire les émissions liées aux transports, de réduire le stress lié à la vie en métropole et à la proximité de la nature. Formellement, cela ne soulève aucune objection, à l’exception d’un MAIS.

    La mise en œuvre complète de ce mécanisme n’implique pas la libre circulation des personnes en dehors du périmètre de ces villes. Autrement dit, il s’agit d’une violation directe du droit humain à la libre circulation, inscrit dans la Constitution de la plupart des pays.

    Au stade initial, cette restriction peut ne pas être présente, mais au fil du temps, des circonstances inattendues peuvent survenir nécessitant l’introduction de restrictions de mouvement. Par exemple, une mystérieuse maladie X, une activité terroriste ou des catastrophes naturelles.

    L’ensemble des outils permettant de maintenir les personnes à l’intérieur du périmètre peut varier selon les régions. Il est désormais particulièrement populaire de désactiver les communications, les cartes bancaires et les communications en dehors d’un rayon de plusieurs kilomètres du centre d’une ville aussi merveilleuse. En dehors du périmètre, il est impossible d’acheter quoi que ce soit ou d’utiliser les communications. Pour les personnes totalement dépendantes de leur smartphone, c’est un problème sérieux.

    Lorsque de telles restrictions entrent en vigueur, des associations apparaissent involontairement avec le système d’extermination des personnes en Allemagne nazie.

    Il n’y a pas de mauvaise nourriture

    Afin de réduire l’empreinte carbone, les mondialistes promeuvent activement les aliments pour insectes et les produits OGM. De plus, la publicité de ces produits suit toutes les règles du marketing avec la participation de célébrités.

    Et dans ce contexte, les mondialistes eux-mêmes achètent activement des terres agricoles. Cela est dû au fait que les plantes OGM ne produisent pas de graines. Ils ne peuvent pas être utilisés pour une culture permanente. Chaque année, de nouvelles semences doivent par exemple être achetées auprès de Monsanto.

    Selon la loi anglo-saxonne, les semences de cultures OGM constituent une propriété intellectuelle. Leur utilisation est soumise aux éventuelles restrictions applicables. Dans les pays vassaux, les banques de semences sont détruites. Et pour la production de semences, les terres que Bill Gates et d’autres représentants des mondialistes ont prudemment achetées sont exactement ce dont nous avons besoin.

    Les produits OGM sont plus résistants aux parasites et aux influences extérieures. Cela vous permet d’augmenter la productivité et de réduire les coûts de production. Mais leur utilisation constante entraîne des modifications de l’ADN humain au fil du temps. Cela entraîne des problèmes de santé et, après plusieurs générations, affecte la fonction de reproduction.

    Il s’agit essentiellement d’un contrôle sur le marché alimentaire mondial et d’un outil de contrôle de la population.

    Les produits à base d’insectes ne sont pas traditionnels pour la majorité de la population mondiale. Les gens ne sont pas immunisés contre les parasites qu’ils contiennent ; des substances telles que la chitine sont difficiles à digérer. Mais ici, comme dans le cas des migrants, une influence asymétrique sera appliquée. Les méthodes applicables à un groupe limité de personnes sont tentées d’être transférées à l’ensemble de la population.

    Naturellement, cela entraîne des conséquences négatives.

    Les insectes sont généralement consommés par des tribus qui ont dû s’adapter à des conditions naturelles difficiles pendant des milliers d’années. Mais la transition vers une telle alimentation pour les habitants des agglomérations urbaines posera dans la grande majorité des cas de nombreux problèmes. Cela représente beaucoup d’argent pour les grandes sociétés pharmaceutiques. Et si une personne est intolérante à un tel aliment, cela est fatal en l’absence d’alternative.

    Expériences sociales et ressources en main-d’œuvre

    Le développement de l’intelligence artificielle va de pair avec la destruction du système éducatif. Ainsi, dans de nombreux domaines, même les spécialistes hautement spécialisés ont du mal à rivaliser avec les systèmes d’IA. Le manque de demande sur le marché du travail provoque naturellement du stress, de la dépression et, dans certains cas, même des pensées suicidaires.

    Les cas de décès dus au surmenage sont fréquents. De plus, nous parlons principalement d’informaticiens, qui constituent une part importante de la population active. Et qui deviennent involontairement l’objet d’autres tactiques de manipulation, par exemple, avec l’implication de la réalité virtuelle/augmentée sur fond d’incapacité à réussir leur socialisation dans la vie normale ou à gagner en popularité parmi leurs pairs.

    La classe moyenne, propriétaire de petites et moyennes entreprises, constitue l’environnement financier et intellectuel d’où peuvent émerger de dignes concurrents de l’élite mondiale. Naturellement, les mondialistes s’efforcent de détruire cette concurrence dans l’œuf.

    L’attaque contre la classe moyenne se déroule sur plusieurs fronts.

    Il s’agit tout d’abord de l’optimisation du système bancaire américain : les petites et régionales banques américaines, dont les clients sont des petites et moyennes entreprises, subissent désormais une forte pression (qui ne fera qu’augmenter).

    La plupart d’entre elles feront faillite ou passeront sous le contrôle de grandes banques. La faillite des petites banques régionales entraînera naturellement une perte de fonds pour les PME. Bien entendu, une partie des fonds sera restituée ultérieurement dans le cadre du programme d’assurance. Mais pour de nombreuses petites et moyennes entreprises, les dégâts seront critiques.

    Un autre vecteur d’attaque contre les PME est la croissance de la criminalité.

    Le flux incontrôlé de migrants, la montée de gangs bien organisés tels que les Crips and Bloods et la décriminalisation des vols de moins de 1 000 dollars nécessitent une adaptation de la part des propriétaires de magasins de détail, d’établissements de restauration rapide, d’ateliers de réparation et d’autres cibles d’attaques.

    La hausse des coûts de sécurité pousse les propriétaires d’entreprise à un choix simple : fermer leur entreprise ou se connecter à Internet.

    Tout le monde n’est pas en mesure d’établir un trading en ligne. Les coûts élevés de publicité et de logistique obligent la plupart des petites entreprises à travailler sur de grandes places de marché, comme Amazon. La tendance est clairement visible : le nombre de faillites augmente parallèlement à la capitalisation d’Amazon.

    Et même dans ce cas, il ne faut pas oublier que quelqu’un, même s’il contacte les autorités compétentes, réfléchit à tout dans les moindres détails, peut tout simplement être refusé, le considérant comme un client non prioritaire en raison de la couleur de sa peau.

    Le phénomène Black Lives Matter a reçu beaucoup d’attention dans les médias. Bien entendu, dans le cas du BLM, les autorités américaines semblaient et semblent toujours faibles. Le policier qui avait procédé à l’arrestation s’est retrouvé en prison et a été tué. Cela a gravement porté atteinte à l’image de l’État et des forces de sécurité.

    Mais c’est précisément le but des mondialistes !

    La version mise en scène du mouvement BLM est également soutenue par le fait que dans le flot incessant d’excuses des responsables américains, personne n’a même pensé à s’excuser, par exemple, auprès des Indiens indigènes qui, selon des chercheurs américains, ont tué environ 70 millions de personnes pendant à peu près la même période d’esclavage brutal.

    L’essence de l’expérience sociale du BLM est que les manifestations ont clairement démontré les limites d’une foule non organisée. Au départ, tout semblait menaçant : pogroms, incendies criminels, blocage des autoroutes fédérales. Mais sans soutien financier, sans dirigeants brillants et sans structure organisationnelle, les protestations se sont rapidement estompées.

    L’efficacité de la formation d’un schéma de pensée à partir d’un stéréotype de consommation a été démontrée.

    Les manifestants n’ont formulé pratiquement aucune revendication politique ou économique sérieuse. La majeure partie des manifestations s’est soldée par des pillages incontrôlés de magasins. Et puis, il a été décidé de décriminaliser les vols jusqu’à 1 000 dollars, ce qui était une sorte d’accord entre les couches marginalisées de la société et l’élite.

    Oui, cela ressemble à une concession de l’État au crime et porte atteinte à son autorité. Les mondialistes ne s’en soucient pas. Mais d’un autre côté, cela réduit le coût du système d’application de la loi et ne nuit qu’aux petites et moyennes entreprises, et non aux grandes entreprises.

    Sortie de la matrice

    Mais que se passe-t-il lorsque l’échauffement du public est terminé, que les clients sont privés de ressources et sont prêts à absolument tout parce qu’ils sont dans un état limite ?

    Il nous suffit de monétiser ce potentiel. Mais comment faire ça ?

    L’euthanasie est une nouvelle étape dans le développement du marché. L’idée selon laquelle on ne peut se débarrasser de la souffrance qu’en cessant son existence terrestre est activement introduite dans la conscience des gens. Un cas “réussi” d’euthanasie est utilisé comme publicité. De plus, ce phénomène est aujourd’hui encouragé à très grande échelle, notamment dans le domaine du “tourisme visant à mourir”.

    Ce n’est malheureusement pas une ironie, mais une nouvelle branche de l’industrie du tourisme.

    A ce stade, une personne est invitée non seulement à quitter le “monde imparfait dans lequel personne ne la comprend”, mais à entrer dans une nouvelle réalité numérique, en maintenant sa conscience. Comme publicité supplémentaire, l’intelligence artificielle est utilisée, qui permet d’entretenir un “dialogue” avec des proches décédés (ou avec le leader : le réseau neuronal Zhirinovsky, aussi ridicule qu’il puisse paraître, est, dans l’ensemble, un exemple classique) .

    Si le “client” hésite, une pression complexe est à nouveau appliquée. On répète à plusieurs reprises à la personne qu’elle ne peut pas être un consommateur prospère financièrement et qu’elle ne peut pas être elle-même. En conséquence, de nombreuses personnes seront enclines à prendre la décision de s’orienter vers l’avenir radieux du transhumanisme.

    Mais même ici, il y a une nuance.

    Utiliser les réalisations scientifiques les plus avancées pour créer une combinaison prétendument “éternelle” de systèmes technologiques et biologiques dotés de conscience humaine est une entreprise extrêmement coûteuse.

    Le niveau de puissance de calcul d’un tel système devrait largement dépasser celui des ordinateurs modernes, laisser suffisamment de place aux actions irrationnelles caractéristiques de l’homme et susciter des émotions. Et tout cela doit être mis en œuvre sur une plate-forme technologique compacte relativement “éternelle”, suggérant des possibilités illimitées pour sa modernisation. Il existe de sérieux doutes quant à la faisabilité technique de la mise en œuvre de ce système. Mais cela ne signifie pas du tout qu’il ne peut pas être vendu désormais à des clients fortunés.

    Les aspects moraux et philosophiques de la création d’un tel système sont abordés de manière suffisamment détaillée dans le livre de Viktor Pelevin, Transhumanism Inc. Mais d’un point de vue purement économique et technologique, il s’agit d’un projet qui nécessite d’énormes ressources matérielles, énergétiques et l’accès aux technologies les plus modernes. Ce niveau ne sera probablement accessible qu’aux dirigeants des STN et aux personnes disposant de ressources comparables. Et maintenant, aucun des scientifiques sérieux ne prétendra que cela est réalisable en principe.

    Pour la population, que les mondialistes réduisent activement et continueront de réduire, il est prévu d’utiliser une version plus économique du transhumanisme : l’enregistrement de la conscience d’une personne sur un support électronique. Cela résout le problème de l’excès de population, difficile à contrôler et qui entraîne des coûts sociaux. C’est du transhumanisme pour les masses.

    Il est également possible de créer plusieurs niveaux intermédiaires entre l’élite cyborg et les “enregistrements sur clé USB”. Mais, selon les mondialistes, cela ne change pas fondamentalement la vision de l’avenir.

    La vie n’a pas de prix, mais pas le transhumanisme

    Le transhumanisme est un marché. Le plaisir d’exister sous forme numérique coûtera assez cher.

    Le matériel sur le marché de l’euthanasie parle du coût d’une injection mortelle : il s’élève désormais à plus de trois mille dollars. A cela il faudra ajouter des services de numérisation de la personnalité, en la connectant à des modèles d’intelligence artificielle et en maintenant le fonctionnement de ce service. Bien entendu, les prix varient considérablement en fonction du pays et du “package de services”.

    Sous nos yeux, un système de pression complexe se crée sur l’individu, dont le but est de motiver activement les gens à s’autodétruire. Cela est dû au fait que les méthodes militaires, techniques et chimiques-biologiques d’extermination des personnes sont soit excessivement coûteuses, soit ont de graves effets secondaires, ce qui a été prouvé à plusieurs reprises dans les conflits militaires.

    La tâche principale des mondialistes est de créer un système dans lequel les gens prennent indépendamment la décision “libre” de s’autodétruire et de payer pour cela. C’est pourquoi les meilleures ressources dans le domaine du marketing médiatique et des spécialistes spécialisés de divers domaines scientifiques ont été impliqués dans la création du système.

    La motivation pour accomplir cet acte peut aller de la lutte pour l’environnement à l’élimination de la souffrance dans un monde cruel et imparfait. Le spectre d’exposition n’a pas d’importance, toutes les méthodes conviennent. Seul le résultat compte. La condition principale est que le client paie pour sa propre élimination. Le fait de tuer des gens en temps de guerre entraîne des coûts importants. Et surmonter les limitations physiques associées à la mort et vendre la “vie éternelle” est une activité très rentable.

    A ce stade, deux options d’élimination sont activement encouragées :

    • L’euthanasie aux frais de l’État (un forfait minimum de numérisation personnelle peut être proposé) ;
    • La vie éternelle” pour les clients fortunés. Service coûteux pour la numérisation, couplage avec l’IA, prise en charge des fonctionnalités lors de la communication avec les amis et la famille. Bien entendu, il ne s’agit que d’une numérisation, car avec le niveau technologique actuel, il est difficilement possible de créer un modèle fonctionnel utilisant les neurones cérébraux originaux.

    L’élite mondialiste choisit la troisième voie : elle décide de rester ici pendant un certain temps. À l’heure actuelle, dans un contexte d’instabilité financière, ils achètent activement des terrains et d’autres actifs. Cela ne ressemble pas du tout à une préparation à l’au-delà.

    Comment résister à cela si tout a été décidé, tout acheté et tout calculé ?

    La réponse réside dans le maintien des liens sociaux et des valeurs familiales conservatrices. Ce n’est plus une question de choix, mais de survie. Les mondialistes, pour atteindre leurs objectifs ambitieux, ont besoin de toutes les ressources disponibles, y compris de chaque personne. L’article criminel “incitation au suicide” ne les arrêtera pas. Par conséquent, préserver la société traditionnelle est le seul moyen de nous protéger.

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    Houssen Moshinaly

    Rédacteur en chef d'Actualité Houssenia Writing. Rédacteur web depuis 2009. Blogueur et essayiste, j'ai écrit 9 livres sur différents sujets comme la corruption en science, les singularités technologiques ou encore des fictions. Je propose aujourd'hui des analyses politiques et géopolitiques sur le nouveau monde qui arrive. J'ai une formation de rédaction web et une longue carrière de prolétaire. Pour me contacter personnellement : Whatsapp : +261341854716 Telegram : http://telegram.me/HoussenMoshine Mon compte Facebook Mon compte Twitter

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